Cettefiche de lecture sur le Supplément au voyage de Bougainville de Diderot propose une analyse complète : • un résumé du Supplément au Voyage de Bougainville • une analyse Supplémentau Voyage de Bougainville de Denis Diderot - Les Fiches de lecture d'Universalis aux éditions Encyclopaedia Universalis. Bienvenue dans la collection Les Fiches de lecture d’UniversalisLa genèse et l’édition des œuvres de Diderot (1713 Cequestionnaire de lecture sur Supplément au Voyage de Bougainville de Diderot vous aidera à : ¿ vérifier votre compréhension de ce conte philosophique ¿ faire des liens entre la réalité et la fiction ¿ approfondir votre analyse de l¿¿uvre Cette ressource comprend un questionnaire de lecture ainsi qu¿un corrigé complet et détaillé. Fichede lecture Supplément au voyage de Bougainville Denis Diderot Titre: Supplément au voyage de Bougainville Auteur: Denis Diderot Date de parution: 1773 Genre: Conte Retrouveztout ce que vous devez savoir sur le livre Supplément au Voyage de Bougainville de Denis Diderot: Questionnaire de lecture de de Eliane Choffray : résumé, couverture, notes et critiques des membres Kifim. Téléchargerle livre Supplément au voyage de Bougainville de Denis Diderot (Fiche de lecture) de Fanny Normand en Ebook au format ePub sur Vivlio & Cultura et retrouve OMql. 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID YVCRfMfGL8L2ptkFtWUdhKv_X-UEqUuL4-M-JRl5t5FVdZmbtU6YBA== Fiche Oral Supplément au Voyage de Bougainville Discours du Vieillard »Denis DiderotDiderot, philosophe du XVIIIe siècle et le père fondateur de l’encyclopédie, combat tout au long de sa vie des institutions politiques et sociales de son pays en favorisant la lumière de la réflexion à l’obscurantisme religieux. C’est ainsi en 1772 qu’il publie le supplément au voyage de Bougainville, une œuvre conçue comme un dialogue entre deux personnes cultivées. Diderot soulève divers problèmes tels que le colonialisme au travers du mythe du bon sauvage. L’extrait que nous allons étudierest tiré du deuxième chapitre et met en scène un équipage et ses compatriotes. Dans cet extrait, Diderot souligne l’opposition entre deux peuples, avec les qualités tahitienne et les défauts Les méfaits de la civilisation Européenne 1 Critique de la colonisation -Le vieux tahitien critique vivement la colonisation de Tahiti. Diderot développe le champ lexical de la violence qui est celle des colonisateurs fureurs inconnues » folles » teintes de votre sang » et celui du pillage engorgés » chef des brigands » car les colons n’ont obtenu ce pays que par la violence. Ainsi il s’agit d’un vol régi par un rapport de force.–L’intrusion des déterminants et des articles possessif souligne le désir de possession des colonisateurs ce pays est à nous » du tiens et du miens » Nos filles et nos femmes » Votre Sang » entre esclavage » et liberté » est mise en évidence à travers des parallélisme Nous sommes libres; et voilà que tu as enfoui dans notre tête le titre de notre futur esclavage » Ce pays est à nous // ce pays est à toi » Tu n’es pas esclave// tu veux nous asservir » Critique des valeurs de la société Européenne-L’impératif pleurez » répété à plusieurs reprises, l’apostrophe malheureux Tahitiens » qui est un adjectif péjoratif et la périphrase dégradante soulignant la malveillance des Européens qui s’oppose à la naïveté des vieillard dénonce les valeurs de la civilisation européenne. L’idée de propriété estau cœur de celle-ci Elle s’applique aux biens matériels et aux terres ce pays est à nous » Mais aussi aux êtres humains les colonisateurs s’approprie les femmes tahitienne et réduisent les tahitien en montre que le pouvoir et la propriété entraîne une jalousie tu es venu allumer en elle des fureurs inconnues » vous vous êtes égorger Pour elles » qualifie les hommes civilisés de méchant à travers un champ lexical fort poursouligner cette cruauté avec des verbes comme enchaîner » , assujettir » asservir » qui traduit l’attitude des Européens envers les tahitiensII- Une vision utopique de la vie sauvage1. Éloge de la vie naturelle-le bonheur des tahitien est rattaché à la notion très présente de la nature nous suivons le pur instinct de la nature » Le conte philosophique Supplément au voyage de Bougainville » a été écrit par Denis Diderot, grand Philosophe du siècle des Lumière. Dans cette œuvre, Diderot s’appuie sur le récit du voyage au tour du monde de Louis Antoine de Bougainville, navigateur et explorateur Français,pour soulever le problème du colonialisme, et en particulier dans l’extrait étudié, pour dénoncer les souffrances que Bougainville et son équipage ont infligé au peuple Tahitien, pendant leur séjour sur l’île. Denis Diderot met n scène un vieillard de la tribu Tahitienne, probablement le sage » de la tribu, prononçant un discours violent à l’encontre de Bougainville et ses hommes. Les nombreux arguments utilisés dans ce discours, amènent naturellement le lecteur à s’interroger Swipe to page sur les méfaits du col analyse l’opposition combat. On parle di Sni* to View donc dans cette e le discours de re car dans ce texte, Diderot oppose les qualit s de la culture Tahitienne contre les défauts de la culture Européenn Européenne. Diderot présente la culture Tahitienne comme es personnes qui mènent une vie heureuse et naturelle nous somme libre », laisse nous nos mœurs, elles sont plus sages et plus honnêtes que les tiennes Ce peuple possède des valeurs positives comme le respect des autres, le partage, la fraternité Contrairement aux Tahitiens, Diderot qualifie les hommes de Bougainville comme des personnes qui ont pour valeurs la violence, la possession, le superflu. Diderot met en scène le vieillard qui à pour rôle de montrer l’absurdité du comportement des Européens. Cette injustice se traduit par application de la loi du plus fort dès l’arrivé des colonisateur sur le territoire Tahitien et cette loi du plus fort et en total opposition avec les idées de Diderot qui défend les lois naturelles. Le discours de combat prononcé par le vieillard mis en scène par Diderot qui s’adresse à Bougainville est divisé en deux partie principale. Dans la première partie, le vieillard dénonce l’injustice, les méfaits du colonialisme tu es le plus fort ? Et qu’est ce que cela fait ? Quel droit as-tu sur lui qu’il n’ait pas sur toi ? On retien Supplément au voyage de Bougainville IUn dialogue mystérieux sur Voyage au bout du monde L'extrait présente un dialogue entre deux personnages désignés seulement par les lettres A et B. On ne sait pas où a lieu le dialogue. On ne sait pas qui sont les personnages. Apparemment ils sont dehors "sous la voûte étoilée", assis près d'une table. Ils parlent du voyage de Bougainville et du récit de voyage qu'il a publié en 1771. On remarque la mention faite au "brouillard", peut-être est-on le matin. Les personnages débattent autour de l'œuvre de Bougainville. Le débat porte sur l'homme "Je n'entends rien à cet homme-là", sur son livre "Que pensez-vous de son voyage ?", sur le style "Et son style". Ils citent des passages célèbres "l'île des Lanciers", "les Patagons", "Aotourou". IILes personnages, des prétextes Les personnages sont anonymes. Juste deux lettres. La situation d'énonciation apprend au lecteur qu'ils sont Européens. Ce sont apparemment de grands lecteurs. Il lisent les philosophes. Ce choix permet à Diderot de s'intéresser essentiellement aux thèses qu'il aborde. Il n'est pas intéressé par les personnages mais par leurs idées. Le lien entre les deux hommes rappelle les relations au XVIIIe siècle. Ils font allusion à une "promenade" survenue la veille du dialogue. IIILa relation des personnages A et B ont des avis divergents. Par exemple, ils sont divisés sur la prévision du temps de la journée A pense que le ciel sera dégagé, B dit qu'il faut être prudent. L'opposition est marquée par des connecteurs logiques "Il est vrai", "mais", "Mais si au contraire". A semble avoir des certitudes, B est celui qui doute "Qu'en savez-vous ?". Les deux personnages ont le même nombre de répliques. C'est B pourtant qui domine en général. Chaque fois, c'est lui qui a le dernier mot. A questionne, B répond. Mais A commente aussi les réponses de B. Ils sont dans l'échange. On peut parler de dialectique entre les deux personnages qui sont au même niveau. Ils débattent, ils ne sont pas virulents. On peut aussi voir ce couple différemment. B est le double de Diderot, le professeur, le philosophe. A représente l'élève ou le lecteur. IVL'importance des sciences Le vocabulaire est assez technique "partie inférieure de l'atmosphère", "chargée d'humidité", "il traverse l'éponge", "région supérieure", "air moins dense", "saturé". Les personnages font référence aux chimistes "comme disent les chimistes". Ils montrent de l'intérêt pour les mathématiques, comme avec cette référence à l'article de Bougainville sur les calculs différentiels. Ils sont aussi intéressés par la géographie avec les explorations évocation de cartes de géographie. VLa philosophie des Lumières Ce texte est représentatif du siècle des Lumières. Le personnage de Boungainville représente les contradictions de l'époque, l'aventurier, le sédentaire, le mondain et l'homme du dehors. Ces contradictions se voient bien dans le chiasme suivant "il se dissipe après s'être appliqué, et s'applique après s'être dissipé". Le débat porte sur la constance de l'Homme. Pour B, il est normal d'être inconstant, tout le monde l'est "il fait comme tout le monde". On retrouve l'idée d'un monde en perpétuel changement "tourbillon du monde", "élément sur lequel il a été ballotté". Le dialogue donne une définition du philosophe des Lumières. Ce n'est pas un homme qui doit se retirer du monde, au contraire il doit en faire partie. C'est un homme curieux qui découvre de nouveaux mondes. C'est un homme qui aime la science et le savoir "est parti avec les lumières nécessaires et les qualités propres à sa vue de la philosophie, du courage, de la véracité…", "le désir de voir, de s'éclairer et d'instruire", "une meilleure connaissance de notre vieux domicile", "plus de correction dans nos cartes géographiques". C'est un homme qui observe "un coup d'œil prompt qui saisit les choses et abrège le temps des observations". Le champ lexical des Lumières est développé "lumières", "vues", "coup d'œil", "observations", "circonspection", "désir de voir", "s'éclairer". En quoi ce texte est-il représentatif des Lumières ?I. Un débatII. L'importance du savoirIII. Un définition du philosopheQuelle est la relation entre A et B ?I. Des amisII. Des représentants des LumièresIII. Une relation philosophe-élève ?En quoi cet incipit est-il déroutant ?I. Une situation d'énonciation mystérieuseII. Des personnages dans l'attenteIII. Un débat philosophique Le supplément au voyage de Bougainville se compose principalement de 3 éléments différents –.la conversation fictive que soutiennent A et B –.le discours du vieillard tahitien –.le dialogue fictif entre Orou et l'aumônier La composition de l'½uvre pourrait paraître déconcertante a première vue. En effet, ces éléments peu homogènes sont décalés aussi bien dans l'espace que dans le temps, ne respectant pas l'ordre chronologique et sont disperses dans les 5 parties qui divisent et organisent le texte. On peut observer des enchâssement de discours dialogue dans un autre dialogue, conte dans le dialogue Diderot introduit, à l’intérieur du dialogue entre A et B qui constitue la structure principale de l’½uvre, le discours du vieux Tahitien au chapitre II, puis le dialogue entre Orou, sa famille et l’aumônier aux chapitres III et IV, interrompu par le récit très bref de B avec l’histoire de Polly Baker à la fin du chapitre III. La cohésion de cet ensemble est donc assure par une mise en abyme ou deux personnages présentent les discours en réalité fictifs comme un réel Supplément au voyage de Bougainville, sans en préciser l'auteur . Le seul intérêt de ce voyage pour l'auteur est de donner un semblant de réalité a ses propos. Il est intéressant de constater le glissement qui peut s’opérer entre les différentes formes littéraires contenues dans le Supplément au voyage de Bougainville. En effet, les discours, très distincts les uns des autres apportent une disparité de tons et peuvent correspondre a des genres différents. Tout d'abord, les personnages A et B entrent en scène comme dans une pièce de théâtre et introduisent la harangue véhémente du vieillard tahitien qui s’apparente aux grandes tirades du théâtre classique, mais également a un pamphlet qui dénonce la nocivité des m½urs européennes. Dans le troisième chapitre, les allégations répétées et mécaniques de l'aumônier , qui s'écrie Mais, ma religion! Mais, mon état! Les bonnes m½urs, l'honnêteté! rappellent le comique de répétition . La pantomime qui s'ensuit il s'agitait, il se tourmentait; il détournait ses regards des aimables suppliantes, ils les ramenaient sur elles, il levait ses yeux et ses mains au ciel. s'apparente a des didascalies comme si B lisait les indications scéniques. Ces exemples de theatralisation permettent d'affirmer que Diderot entendait bien user de tous les effets dramatiques tant tragique que comique dans son texte pour mêler ainsi les registres. Tout au long du texte, la confrontation des points de vue entre B et A ou l'echange l’aumônier et Orou, qui cherche a faire réfléchir son interlocuteur et a l'amener par le raisonnement à la vérité, font penser a un dialogue philosophique. Le récit de voyage, le témoignage, en référence au voyage de Bougainville contribuent a créer une fable de Tahiti qui apparaît comme une utopie et qui permet un retour réflexif du lecteur sur la société dans laquelle il vit, plus qu’il ne conduit à des solutions définitives . Nous avons egalement un récit rétrospectif des expériences amoureuses de l’aumônier et une sorte d' apologue dans la partie consacree au discours de Polly Baker. Les parties narratives sont brèves et les descriptions réduites a l'essentiel, l'auteur se montre très concis . Nous ne savons rien non plus du cadre dans lequel se déroule la conversation entre Orou et l'aumônier et peu de détails ne nous sont donnes sur les nuits amoureuses de ce dernier, ni sur A et B dont même les noms ne sont pas connus. Diderot ne fait donc aucun effort de pittoresque et nous invite a lire ce texte comme un conte dans lequel le cadre importe moins que la leçon. IILa forme dialogue 1. 1. Le Supplément au voyage de Bougainville est tout entier un discours direct. La narration s'efface derrière laes paroles des personnages parmis lesquels B joue un rôle d'analogue il distribue la parole aux personnages, décide de donner un moment de parole au vieillard, puis ensuite a Orou et a l'aumônier et tout a coup a Polly Baker. Il apparaît comme le metteur en scène des enchâssements de dialogues et son choix oriente la signification de l'ensemble. 1. L'emploi du dialogue a ici non seulement une fonction dramatique, mais surtout philosophique et dialectique. En effet, elle favorise a la fois la démarche maïeutique l’accouchement des esprits selon Socrate, qui permet de faire découvrir a un interlocuteur son erreur et de l'amener a énoncer une vérité qu'il détenait cachée en lui, et a la démarche dialectique, qui permet par la confrontation de deux thèses opposées de construire une autre vérité. Pour Diderot, un texte à fonction argumentative n’est jamais un monologue, même s’il privilégie une thèse il réfute, confirme, anticipe les objections. Il s'agit ici d'un texte polyphonique ou l'auteur laisse entendre explicitement, plusieurs voix, plusieurs thèses qu’il confronte avec vivacité Orou défend la loi naturelle et la raison, quand l'aumônier défend sa religion, ses m½urs, son état ; A s'oppose a B , les voix du vieillard et de Polly Baker s'en prennent aux fondements de la civilisation européenne . Enfin, la démarche est bien maïeutique puisqu'elle permet la reconnaissance par l'aumônier de la relativité de ses convictions et l'adoption d'une morale provisoire pour B. Diderot présente l’intérêt d’engager un dialogue plutôt que de prêcher une doctrine. On peut replacer cette volonté dans le contexte idéologique de l'époque. Le siècle des lumières correspondait a un siècle où les valeurs morales et philosophiques se fondent difficilement sur une vérité révélée, mais davantage sur des interrogations, des remises en cause, où le penseur prêche le faux afin de parvenir au vrai. Le dialogue permet l'échange de point de vue, l'enrichissement des thèses et la délibération, il offre la pensée la liberté de se développer librement et interdit le dogmatisme , c'est à dire l'expression d'une pensée unique. Le recours au dialogue semble alors plus conforme à un dessein philosophique. 1. L'emploi du dialogue a ici non seulement une fonction dramatique, mais surtout philosophique et dialectique. En effet, elle favorise a la fois la démarche maïeutique l’accouchement des esprits selon Socrate, qui permet de faire découvrir a un interlocuteur son erreur et de l'amener a énoncer une vérité qu'il détenait cachée en lui, et a la démarche dialectique, qui permet par la confrontation de deux thèses opposées de construire une autre vérité. Pour Diderot, un texte à fonction argumentative n’est jamais un monologue, même s’il privilégie une thèse il réfute, confirme, anticipe les objections. Il s'agit ici d'un texte polyphonique ou l'auteur laisse entendre explicitement, plusieurs voix, plusieurs thèses qu’il confronte avec vivacité Orou défend la loi naturelle et la raison, quand l'aumônier défend sa religion, ses m½urs, son état ; A s'oppose a B , les voix du vieillard et de Polly Baker s'en prennent aux fondements de la civilisation européenne . Enfin, la démarche est bien maïeutique puisqu'elle permet la reconnaissance par l'aumônier de la relativité de ses convictions et l'adoption d'une morale provisoire pour B. Diderot présente l’intérêt d’engager un dialogue plutôt que de prêcher une doctrine. On peut replacer cette volonté dans le contexte idéologique de l'époque. Le siècle des lumières correspondait a un siècle où les valeurs morales et philosophiques se fondent difficilement sur une vérité révélée, mais davantage sur des interrogations, des remises en cause, où le penseur prêche le faux afin de parvenir au vrai. Le dialogue permet l'échange de point de vue, l'enrichissement des thèses et la délibération, il offre la pensée la liberté de se développer librement et interdit le dogmatisme , c'est à dire l'expression d'une pensée unique. Le recours au dialogue semble alors plus conforme à un dessein philosophique. Le Supplement au voyage de Bougainville est donc ½uvre qui combine des emprunts à plusieurs genres qui en font un complément précieux pour l’étude de la philosophie dialogue philosophique, conte, apologue, utopie…Diderot emploie à l’écriture de cet ouvrage tout ce qui fait l’esprit léger et élégant des conversations des salons des Lumières et fait preuve de recherche d’un style plus naturel que celui des modèles rhétoriques traditionnels par l’enchâssement des dialogues, la vivacité du conte et des moyens empruntés à l’esthétique théâtrale. On voit donc que Diderot ne veut pas seulement instruire, mais veut surtout plaire et faire réfléchir le lecteur. II • Registres variés pathétique et polémique dans le discours du vieillard, polémique dans les réparties d’Orou, comique dans l’attitude de l’aumônier, dans certaines répliques de A et B.

supplément au voyage de bougainville fiche de lecture