NicolasDecayeux, patron des ex-Whirlpool : «Je ne veux pas être un bouc émissaire» Nicolas Decayeux, président de WN qui a repris une partie des salariés de Whirpool en 2018, et revient sur
2 Le sensible. Le bouc émissaire et l' intimidation ont des intentions similaires, et chacun donne à l'agresseur une poussée de pouvoir ; ce sera beaucoup plus satisfaisant si
Lebouc émissaire permet au groupe de se laver symboliquement de toutes ses fautes, de se purifier et de se sentir plus fort. L’expression « bouc émissaire » est apparue à la fin du XVIIe siècle. Elle a été notamment utilisée par Georges Clemenceau à propos de l’affaire Dreyfus : « Tel est le rôle historique de l’affaire Dreyfus. Sur ce bouc émissaire du judaïsme, tous les
Lapersonne qui harcèle, comme le pervers narcissique, ne choisit pas sa victime par hasard. Ce n’est pas en vous opposant que vous sortez des griffes du harceleur. Plus vous résistez, plus vous alimentez le système. Vous augmentez ainsi le risque d’être harcelé. Votre résistance constitue donc une récompense.
3juin 2022 Nawel Djouder Podcasts. Les diagnostiqueurs et le DPE occupent à nouveau le devant de la scène depuis quelques jours. “ (Ils) ne doivent pas être les boucs émissaires d’une réglementation qui peut être perfectible, d’un calendrier intenable, confie Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim. Je serai toujours là pour
Laviolence incestueuse est une violence permanente de bouc émissaire prenant différentes formes (sexuelle, économique, physique, etc.), qui concerne l’ensemble des membres d’un groupe famille, amenant chacun à être violent contre un autre membre désigné du groupe, ne serait-ce que par le silence sur la violence des autres, ou le silence devant la plainte de la
JsWn9. 1Il y aura un centième anniversaire de L'union Européenne", a assuré le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, lors des célébrations des 60 ans de la signature du traité de Rome, le 25 mars dernier. Une affirmation destinée sans doute à conjurer les inquiétudes sur la solidité de la construction européenne... La question de la pérennité de ce grand projet d'après-guerre se pose avec plus de gravité que jamais tant l'Union est assaillie de menaces. 2Les périls extérieurs s'accumulent. La Russie agressive de Poutine fait ressurgir une pression militaire aux frontières de l'Union. Mais à la différence de l'époque de la guerre froide, l'allié américain n'est pas au rendez-vous. Pour la première fois, le Président des Etats-Unis est ouvertement hostile à la construction européenne. Ce même Président est décidé à faire prévaloir les intérêts commerciaux de court terme de son pays, au risque de déclencher une escalade protectionniste. Parallèlement aux logiques de puissance déployées par les grands Etats, l'Union doit aussi faire face à la menace diffuse du terrorisme islamique, et aux conséquences du délitement des Etats syrien, irakien et libyen, auquel elle assiste impuissante. 3Pourtant, le plus grand danger vient de l'intérieur. Ironie du calendrier quelques jours avant la célébration du soixantième anniversaire de l'acte inaugural de la construction européenne, le Parlement de Westminster donnait son feu vert à Theresa May pour entamer les négociations du Brexit. L'Union, qui n'avait cessé jusqu'à présent de s'élargir, va pour la première fois s'amputer d'un membre. 4Ce précédent enhardit tous ceux qui voient dans l'affranchissement du "joug de Bruxelles" la solution miracle. A commencer par le Front national en France, pour qui la sortie de l'euro ouvrirait au pays les portes de la rédemption économique. 5Marine Le Pen voudrait nous faire croire que le remplacement de l'euro par un franc déprécié conduirait à un sursaut productif. Rien n'est moins sûr. Ce qui est certain, en revanche, c'est qu'il entraînerait une forte baisse du pouvoir d'achat des ménages, une escalade des taux d'intérêt et des difficultés financières inextricables pour nombre d'entreprises. Et quand elle promet l'abolition de la contrainte budgétaire grâce à la souveraineté monétaire retrouvée, elle oublie que la confiance dans la monnaie est un acquis précieux et fragile. 6Mais qu'importe si la solution miracle est un miroir aux alouettes. Les voix de ceux qui mettent en garde contre les effets délétères d'une sortie, que ce soit de l'Union européenne ou de l'euro, ne portent pas. La parole des experts est devenue inaudible, car il faudrait pouvoir opposer aux populistes autre chose que leur propre copie annotée en rouge. Bouc émissaire idéal 7L'Europe est un bouc émissaire idéal, qui tend le bâton pour se faire battre. Car elle non plus ne tient pas ses promesses. La promesse de prospérité s'est fracassée sur la crise de la zone euro et la longue agonie économique de la Grèce. Peu importe qui - des décideurs européens ayant admis la Grèce dans l'euro, des dirigeants grecs qui ont gaspillé la manne européenne, ou de la "Troïka" qui a géré la crise - est le plus coupable du désastre. La responsabilité est certainement partagée, mais le résultat - la crise la plus sévère qu'ait jamais connue une économie développée - est désastreux pour l'Europe. D'autant que d'autres pays de la zone euro souffrent depuis des années d'une croissance anémique et d'un sous-emploi durable. 8L'Union n'est pas plus brillante quand il s'agit de défendre ses valeurs. Les grands principes d'accueil, d'humanité, de respect des droits humains ont sombré en Méditerranée, avec les migrants morts en mer, ou ont été oubliés dans des camps aux portes de l'Europe. Les valeurs d'unité sont mises à mal chaque jour par les divisions entre pays qui condamnent l'Union à l'impuissance. Or si l'UE n'apporte pas la preuve qu'elle peut tenir ses promesses de prospérité et qu'elle sait défendre ses valeurs humanistes, elle disparaîtra. Dût-elle céder la place à un chaos bien pire. Le pire des régimes... 9Mais soyons justes ce n'est pas l'Union elle-même qu'il faut incriminer, car elle n'est pas un sujet politique. Ce sont les Etats membres qui en tiennent les rênes. La crise a encore accentué le glissement du pouvoir des institutions incarnant l'intérêt communautaire la Commission et le Parlement européens vers les enceintes intergouvernementales le Conseil. 10C'est à nos dirigeants qu'incombe la responsabilité de convaincre les peuples que leur avenir passe par l'unité. En particulier aux dirigeants français et allemands dont l'accord demeure le préalable à toute avancée substantielle en Europe. Espérons que les élections, le mois prochain en France, cet automne en Allemagne, feront sortir des urnes des responsables politiques conscients de la gravité du moment, armés d'une vision claire et prêts à un dialogue de fond. 11La voie qu'ils prendront n'est pas tracée. Elle sera faite de compromis. Le futur désirable est loin de faire l'unanimité entre les Vingt-Sept, ce qui imposera sans doute d'avancer en groupes plus restreints, peut-être variables selon les sujets. Il n'y aura pas de grand soir européen, mais l'immobilisme n'est plus une option. L'Union doit se donner les moyens d'agir dans un contexte difficile et changeant, malgré les divergences multiples entre les intérêts des Etats qui la composent. Il lui faut pour cela une capacité de décision collective et des ressources pour remplir ses objectifs. Ces pouvoirs, pour être acceptés par les citoyens, doivent être soumis au contrôle démocratique. La démocratie dont Churchill disait qu'elle est "le pire des régimes, à l'exception de tous les autres". Une maxime que l'Union ne renierait pas...
Le bouc émissaire toujours coupable ! La désignation d’un bouc émissaire est un comportement observé dans plusieurs communauté un groupe choisit une personne qui est ensuite ostracisée et doit endosser à titre individuel une responsabilité collective. Théorie fondée sur la théorie de la frustration-agression, celle du bouc-émissaire dit qu’un groupe composé d’individus différents peut se servir d’un bouc émissaire pour s’unir ou se réunir. Ce comportement résulte d’une frustration, c’est-à -dire d’une impossibilité d’atteindre ses objectifs. L’agression est tournée de manière privilégiée vers la source de la frustration, même si celle-ci est absente ou non accessible hiérarchie, l’agression est déplacée vers un bouc émissaire, la cible la plus facile. Tout le monde connaît le mécanisme du bouc émissaire » qui consiste à accuser un individu d’être à l’origine des maux dont peut souffrir la collectivité dans son ensemble. A priori, tout le monde s’accorde à dire que c’est dangereux et injuste mais le mécanisme ne cesse de se reproduire en changeant de forme et de victime. Aurait-il une fonction régulatrice si primordiale que les communautés ne puissent pas s’en passer ? Différent des autres. Quoi qu’il se passe dans une communauté, tous les gens trouvent que c’est la faute de Untel » un manteau est déchiré, on perd le match de hockey, il y a des paroles qui dérangent, c’est toujours Untel qui est désigné coupable. Pourtant, Untel n’abîme pas les manteaux, joue très bien au hockey, et ne fait rien de plus qu’un autre ! Untel est ce qu’on appelle un bouc émissaire » tout ce qui va mal est désigné par le groupe comme étant de sa faute. Pourquoi un individu précis devient-il le bouc émissaire » ? Souvent parce qu’il est, en quelque chose, différent des autres Parce qu’il est excelle dans son domaine, qu’il réussit, ce que les autres ne supportent pas. Parce qu’il est très petit, très gros, très sensible, de race, de couleur de culture différentes et qu’il est souvent pas natif du lieu ou il habite. Le bouc émissaire est donc celui qu’un groupe accuse de toutes les fautes et de tous les malheurs. Il est désigné coupable et responsable de tout ce qui va mal. Quelques exemples Les boucs émissaires ont toujours existé. On les retrouve dans tous les groupes, qu’elle qu’en soit la dimension familles, écoles, usines, clubs , bureaux, nations, … partout où quelques personnes sont rassemblées, le phénomène surgit. Le bouc émissaire d’un groupe peut être, une seule personne, un groupe de population, un ou plusieurs animaux, un élément naturel, un concept plus abstrait. Exemples Il est plus facile d’accuser un entraîneur ou un gardien de but que de trouver pourquoi toute une équipe de football perd. Les immigrés sont souvent des boucs émissaires, comme fausse explication aux problèmes du chômage et de la pauvreté d’un pays. Pour certains, tous leurs malheurs proviennent de l’urbain, d’internet, du premier ministre, des normes écologiques, de l’éducation, d’un président américain, d’un microbe de grippe, d’un chien, d’un volcan, des Wallons, du TGV. La liste non exhaustive n’est limitée que par les capacités de l’imagination humaine ! Voyez les multiples exemples autour de vous, il y en a partout !Un coupable… pour cacher les vraies causes ! En fait, trouver un bouc émissaire est une explication facile, beaucoup plus facile que de rechercher les vraies causes des échecs ou des problèmes Cela permet de ne pas se remettre en question. Cela supprime les discussions et le désordre puisque tout un groupe est d’accord pour accuser une personne ou un autre groupe. Cela rassure ceux qui sont inquiets, puisqu’on trouve une explication officielle aux difficultés. Cela crée une alliance qui soude le groupe contre le prétendu coupable, peu importe le racisme et à la violence qui s’en … c’est s’empêcher de trouver des solutions aux problèmes puisqu’on en ignore les causes réelles … Comment lutter contre ce phénomène? Il est important de lutter contre le phénomène du bouc émissaire, mais c’est quasiment impossible. On ne devrait jamais accepter de laisser désigner erronément un coupable à tout ce qui ne va pas. Il faut inciter le groupe à comprendre son propre système de fonctionnement, et à chercher en lui les raisons de son malaise. Mais qui va jouer ce rôle ? Certainement pas ceux qui ont le pouvoir ou qui tiennent les rênes économiques, mais plutôt les gens normaux, car les vérités sont bien souvent dérangeantes et peuvent déstabiliser le pouvoir en place. Souvent, c’est celui qui désigne les erreurs d’un groupe, qui en devient immédiatement le bouc émissaire. Cela se retourne immédiatement contre celui qui dit la vérité, comme dans la chanson de Guy Béart Le poète a dit la vérité, il va être exécuté ». L’atypique, bouc émissaire de prédilection Par sa sensibilité et ses capacités, l’atypique apte facilement la charge maladive, ressent les liens agressifs du groupe, pressent les rejets. Etant donné ses différences, il peut devenir un bouc émissaire rêvé ! Le groupe va le désigner consciemment ou inconsciemment, car il est potentiellement dangereux il ressent les choses, en connaît trop, il parle trop … il faut l’éliminer ! Eviter d’être bouc émissaire Pour éviter de devenir le coupable désigné d’un système, il faut montrer qu’on va bien et avoir l’air alerte, témoigner d’une ouverture d’esprit mais tout en restant dans la norme, ne jamais paraître farfelu » dans ses dires ni dans son comportement, être pausé, non agité, sans flux de paroles ni de silence exagéré et surtout être comme tout le monde », ce qui est … impossible à quelqu’un de construit, loyal, créatif, intelligent et responsable … Personnellement, je suis présentement bouc émissaire » de ma collectivité, parce que dès ma tendre enfance je suis consciente de ce risque. Mais les rôles que j’ai dû jouer, les mille stratégies à utiliser pour l’éviter m’ont fait détester les groupes, voire même l’humanité en général. J’éprouve un ressenti de grand cirque humain, et un profond dégoût pour les manipulations omniprésentes des hommes entre eux. En écrivant cette page je me rends toutefois compte que je n’ai pas été suffisamment perspicace dans certains petits groupes, je suis encore le coupable désigné auprès d’êtres qui me sont proches, et cela me fait immensément souffrir. Matière à réflexion ! Joyeuses Pâques !
Les troubles de la personnalité narcissique sont relativement complexes, ils possèdent de nombreux signes parfois difficiles à percevoir. Ces signes affectent la manière dont une personne narcissique interagit avec les autres. Ils ont souvent le besoin de confier des rôles aux personnes qui les entourent afin de répondre à des besoins égoïstes. L’un de ces rôles est celui du bouc émissaire. Le bouc émissaire, victime du narcissique, est une personne qu’il peut tenir responsable de ses agissements. Elle est généralement facile à blâmer, et à désigner. Même si cette personne n’est responsable de rien et innocente de ses accusations, elle devient un moyen facile pour le narcissique de justifier ses agissements. Selon des études, cette dynamique entre narcissique et bouc émissaire la plus courante est au sein de la famille, avec ses enfants. Dans cette situation, l’enfant est souvent désigné comme la victime et supporte le poids de tous les problèmes familiaux. L’enfant n’est pas la seule victime potentielle, elle peut aussi être tout autre personne vulnérable. Peu importe qui soit la victime, elle se retrouve dans une situation où il n’est absolument plus possible de faire confiance aux autres, où l’estime de soi n’existe plus et où le sentiment de honte est prédominant. Même en dehors de sa famille, le narcissique possède une finesse lui permettant de détecter assez facilement les victimes potentielles, afin de ne jamais manquer de ses boucs émissaires. Pourquoi font-ils cela ? Êtes-vous à risque ? La psychologie explique pourquoi les personnalités narcissiques ont de tels besoins et de quel type de personne ils abusent. 1. Notion de régulation ils utilisent des boucs émissaires comme régulation par projection Les boucs émissaires permettent aux narcissiques de se réguler, en effet, une étude suggère que les narcissiques ont une faible estime de soi voire un dégoût de leur propre personne, ils sont insatisfaits d’eux-même. C’est pour cela qu’ils mettent en place des stratégies, dans le but de pallier à leurs émotions négatives qu’ils n’ont pas appris à gérer victimes sont un moyen pour eux de gérer leurs émotions, puisqu’ils ne sont pas capables de développer une bonne conscience. Notons qu’il n’est souvent pas possible pour eux de bénéficier d’une thérapie ni de relations saines puisqu’ils sont généralement incapables de se remettre en question ou de demander de l’aide. Réprimer leurs émotions les rend plus forts, des études le confirme. Sans régulation, les sentiments d’un narcissique deviennent de plus en plus fort. Le fait que la plupart de ces sentiments concernent leurs propres dégoûts de soi ne fait qu’empirer leurs émotions. Il est fondamental pour tous de pouvoir évacuer nos émotions, qu’elles soient positives ou négatives… nous ne pouvons pas tout garder en nous. De nombreuses études le confirment. Sans régulation, les sentiments d’un narcissique deviennent de plus en plus forts. Le fait que beaucoup de ces émotions concernent leur propre dégoût de soi ne fait qu’empirer les choses. Voici quelques exemples de cette projection Un narcissique inquiet de son apparence, s’attaque à sa victime pour son apparence à elle. Cet abus peut concerner le fait de tout remettre en question, que ce soit leurs sens de la mode, leurs conditions physiques ou leurs particularités physiques. Une personne narcissique étant consciente de ses tendances manipulatrices, et en ressentant de la honte, projette sur sa victime ses manières de penser et sa toxicité. Ils ont pour objectif d’inverser les rôles, pour que d’un point de vue extérieur, ils soient perçus comme la victime. Un narcissique estimant ne pas avoir abouti suffisamment de projets attaquera son bouc émissaire sur ses réalisations. Par exemple, il pourrait le décourager en critiquant ses compétences ou minimiser ses réussites. Quoi que la victime puisse faire, celle-ci sera critiquée par son bourreau. En clair, ce sont des personnes qui passent leur temps à créer une fausse version d’eux-mêmes, leur permettant de cacher leurs failles et insécurités, leur vraie personnalité étant projetée sur leurs proies. 2. Les narcissiques utilisent des boucs émissaires pour éviter d’être démasqués La raison la plus courante de désigner un bouc émissaire est de vouloir transférer sa culpabilité et ses responsabilités. Les narcissiques sont des personnes se souciant énormément de l’image qu’elles renvoient, c’est pour cela qu’il est important pour eux de prendre du temps afin de façonner cette dernière dans les moindres détails. Cela implique qu’ils doivent montrer d’eux une version sans défaut. En général, nous pensons que les narcissiques sont des êtres machiavéliques, sans coeurs et manipulant tout autour d’eux… mais n’oublions pas que ce sont avant tout des être humains soumis aux erreurs, et qu’ils ont besoin d’utiliser ces stratagèmes pour se sentir bien. Ce besoin explique deux mécanismes du narcissisme le déni et la rationalisation. Ce sont des mécanismes de défense permettant au narcissique de maintenir un état mental acceptable et d’être une bonne personne aux yeux des autres. Voici comment un narcissique utilise généralement le déni auprès de ses victimes Toutes les images / Pixabay Gaslighter ou le gaslighting , c’est-à -dire manipuler le bouc émissaire, afin qu’il accepte une fausse version de la réalité dans laquelle ce dernier est responsable du comportement du pas prendre en compte les émotions et pensées de la victime, afin d’invalider constamment ses l’attention des autres afin qu’ils ne s’aperçoivent pas de ses intentionsRester dans le déni de ses ressentis, afin de continuer la comment il utilise la rationalisation En justifiant son comportement, à la fois auprès du bouc émissaire mais également auprès des personnes qui l’entourentEn normalisant ses comportements auprès de la victime, de manière à ce qu’elles pensent être le problème de la relationEn s’assurant que tout le monde pense que le bouc émissaire a tortEn restant silencieux avec la victime, afin qu’elles remettent en question ses actions et émotions Ce n’est pas les seules stratégies qu’ils utilisent. Ils ont besoin de leurs victimes, entre autres, pour s’assurer que les mensonges soient convaincants. Ces abus justifient que la victime soit souvent traumatisée de tout ce qu’elle a enduré. Maintenant que nous en savons davantage sur les tyrans de cette situation, vous vous demandez sûrement Quelles sont les caractéristiques des victimes ? Tout le monde n’est pas le candidat idéal pour devenir le souffre-douleur du narcissique, il a besoin d’éléments précis afin d’éviter des retournements de situation dans lesquels ils n’auraient plus le contrôle. Ils ont besoin d’individus pouvant être manipulés autant qu’ils le désirent. Ceux qui ont une faible estime d’eux-mêmes Il est plus facile de manipuler une personne vulnérable, ils choisissent donc des individus plus sujets à la dépendance affective. Ensuite, ils donneront à leurs victimes juste assez d’approbation pour les garder près d’eux, mais en les critiquant suffisamment pour se sentir meilleur qu’eux. Les altruistes Ce sont des individus qui ont une sensibilité pour les autres, qui désirent prendre soin de ceux qui les entourent. Les narcissiques peuvent les manipuler en faisant mine d’être blessés, pour que cette personne prenne soin d’eux. Les rebelles Il est plus simple pour un narcissique de manipuler un fauteur de troubles. En effet, il n’aura pas à salir son image davantage qu’elle ne l’est déjà . Les solutionnistes Ce sont des individus toujours à la recherche de solution pour résoudre des problèmes. Ce sont des personnes sujettes à s’attribuer les erreurs des autres pour les régler. Ce sont donc des bonnes victimes pour le narcissique car elles prendront sur elles pour régler les problèmes du narcissique. Les individus à qui le narcissique aimerait ressembler Si le narcissique arrive à mettre sous son emprise une personne à qui il voudrait ressembler, cela ne pourra qu’augmenter son égo. S’il arrive à maîtriser une personne qu’il idolâtre, il aura tout gagné. Notons qu’il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte pour qualifier une personnalité de narcissique, il est également important d’en différencier les manipulateurs ou les personnes toxiques. C’est pour cela que demander de l’aide auprès d’un professionnel est le meilleur conseil à appliquer. Il pourra vous aiguiller et donner les bonnes réponses à vos questions.
Une carte blanche de Vincent Laborderie, politologue UCLouvainLe dernier Codeco devait être celui d’une levée partielle des contraintes liées à la lutte contre le Covid19. Mais, outre la fin du port du masque en Flandre, il fut en réalité marqué par la déclaration d’Alexander de Croo à l’encontre des non-vaccinés "Cette épidémie est en train de devenir une épidémie de personnes non vaccinées. On rassemble aujourd'hui dans les soins intensifs des personnes qui ne sont pas vaccinées. Ce n'est pas acceptable. Ces personnes mettent en danger d'autres personnes".Les mots sont lourds, en particulier venant d'un Premier ministre censé représenter tous les Belges mais qui, ce jour-là , a décidé de pointer du doigt nos compatriotes qui n'ont pas fait le choix de la vaccination. À l'entendre, les non-vaccinés seraient devenus les vecteurs quasi uniques de l'épidémie et donc les responsables de la prolongation de la crise. Comme l'a rappelé Yves Coppieters dans ces colonnes, cette vision n'a aucun fondement scientifique. Ce discours  anti-nonvax » semble pourtant largement partagé par nos dirigeants. Ainsi, Elio Di Rupo appelait tout récemment les non-vaccinés  à faire leur examen de conscience » et  à mesurer les conséquences de leur inaction », alors que Conner Rousseau leur reprochait, il y a déjà quelques semaines, leur égoï danger de la discriminationCes déclarations se déploient dans un contexte particulier qui voit les cas de discriminations envers les non-vaccinés se multiplier dans les milieux les plus divers. On a ainsi vu une entreprise séparer les salariés selon leur statut vaccinal ou, plus fréquemment, des écoles prévoir de réserver certaines activités aux élèves vaccinés tout en mettant la pression sur les autres. Pour mémoire, Unia, l’organisme interfédéral chargé des luttes contre les discriminations, a eu l’occasion de rappeler que refuser un service sur base du statut vaccinal constitue bien une à cela, se tenaient les discussions autour de l’extension du Covid Safe Ticket à Bruxelles et en Wallonie. Les deux phénomènes sont bien sûr liés. Aux pouvoirs publics s’interrogeant ouvertement sur la meilleure manière de contraindre les non-vaccinés à franchir le pas, répondent des citoyens persuadés d’assurer la sécurité de tous en excluant ces mêmes non-vaccinés jugés dangereux, car contaminants. À ce sujet, rappelons que, malgré une croyance fort répandue, les personnes vaccinées peuvent toujours contracter le Covid-19 et le transmettre. La vaccination ne fait que réduire cette transmission, dans des proportions qui restent toujours à déterminer. L’intérêt des vaccins réside plutôt dans leur remarquable efficacité à prévenir les formes graves de la devenue notre société?Dès lors, il faut s’interroger sur la volonté que manifestent certains à exclure une partie de la population et à la rendre responsable de la situation. Celle-ci en dit en effet long sur ce qu’est devenue notre société après 18 mois d’une crise qui a, malheureusement, largement dépassé sa dimension non-vacciné n’est en réalité que le dernier d’une longue série de boucs émissaires. Il a succédé dans ce rôle à ceux qui ne respectaient pas les mesures, aux Bruxellois, aux jeunes, aux vacanciers osant revenir de l’étranger, aux rassuristes, aux étudiants, aux Wallons, aux organisateurs de  lockdown parties » parfois des soirées pizza à six, aux skieurs, etc. On en oublie responsable de notre malheur une minorité qui pense et agit différemment n’a rien de nouveau. René Girard a même décrit le bouc émissaire comme un élément constitutif d’une société. Il prend d’ailleurs comme exemple dans ses travaux les Juifs du Moyen-âge, accusés alors de propager les épidémies de peste. En cas de crise, certains reviennent donc aux fondamentaux. En l’espèce, le clivage vacciné/non vacciné est d’autant plus fort qu’il repose sur un statut médical clair. On peut ainsi diviser la société en deux parties inégales avec une majorité et une minorité. La stigmatisation de cette minorité a aussi l’avantage d’épouser, dans l’esprit de certains vaccinés, cette idée vieille comme le monde selon laquelle si les autres faisaient comme soi, tous les problèmes seraient ré nouveau clivage dans notre sociétéAujourd’hui, le risque est grand de voir une division entre vaccinés et non-vaccinés s’installer durablement. Des politiques et des médias seront tentés d’exploiter ce clivage pour récolter intentions et de vote et audience. C’est peut-être à cette aune qu’il faut comprendre certaines déclarations expliquer aux 85% d’électeurs vaccinés que tout est de la faute des autres peut, électoralement, rapporter est donc en place pour que se rajoutent un clivage et une nouvelle minorité dans une société belge déjà fort balkanisé situation est encore plus aiguà à Bruxelles, où les populations pointées du doigt étaient déjà stigmatisées pour d’autres raisons. En plus d’être pauvres et d’origine étrangère, elles sont maintenant considérées comme responsables de la prolongation de la crise. Mais le plus souvent, le nouveau clivage traverse des groupes déjà constitués. Il menace de séparer les familles, les amis, les collègues de travail. On retrouvera partout des non-vaccinés, des vaccinés respectueux du choix d’autrui et d’autres qui, au contraire, penseront que les non-vaccinés sont de dangereux irresponsables qu’il faut contraindre ou exclure. On a la faiblesse de penser que l’un des rôles des politiques consiste à permettre aux citoyens de vivre en bonne intelligence, d’apaiser les tensions et non de les exacerber. De ce point de vue, l’extension du Covid Safe Ticket ne fera qu’aggraver la division. D’abord en la rendant visible, puisque nous serons sommés de montrer notre statut vaccinal à tout bout de champ. Ensuite en excluant de fait les non-vaccinés, qui seront tentés de créer les lieux de rencontre et de culture question de l'obligation vaccinaleLe plus singulier est de voir que, tout en envoyant ces messages excluants, ces mêmes politiques refusent de poser le débat de l’obligation vaccinale. Il s’agirait pourtant d’une manière saine d’aborder le sujet. En effet de deux choses l’une soit il est autorisé de ne pas être vacciné contre le Covid19, soit ceci est interdit car jugé trop dangereux pour la société. Dans ce dernier cas, il faudrait alors justifier scientifiquement l’obligation objectent qu’une telle obligation serait impossible à contrôler. Osons une suggestion on pourrait par exemple effectuer un contrôle du statut vaccinal à chaque entrée dans un café, un restaurant, une salle de sport, un hôpital, etc. soit précisément ce que prévoit le Covid Safe Ticket dans sa version étendue. Voilà qui nous révèle la nature de cette mesure une série de sanctions liées à une obligation, sans que cette obligation ne soit prononcée – et donc débattue et assumée par les pouvoirs avons aujourd’hui le pire des deux mondes un harcèlement permanent et des contraintes croissantes à l’encontre d’une partie de la population qui a fait un choix présenté, à un moment, comme licite et légitime. Tout se passe comme si, ne voulant pas assumer cette obligation, nos dirigeants comptaient sur la pression mise par tous sur les derniers récalcitrants. Mais c’est oublier les souffrances et les divisions profondes ainsi cré crise sanitaire finira un jour, en grande partie grâce aux vaccins. Mais il importe de s’interroger sur la société que l’on laissera après celle-ci. Et de se poser cette question fondamentale veut-on d’une société où le discours de peur et bientôt de haine envers une minorité est présenté comme scientifiquement validé et politiquement légitime ?Aux hyper-pragmatiques insensibles aux grands principes, on rappellera que l’on est toujours la minorité de quelqu’un. Et que la prochaine crise belge est déjà programmée, au soir des élections fédérales prévues, au plus tard, en mai 2024.
Bonjour il n' y a aucune fatalité, les voyants predisent le detsin mais le detsin n'existe pas, la vie est ce qu on en fait, il faut prendre le srenes de ta vie en mains. tu te vois vivre dix ou plus annes comme ca? je l'ai vu ds ma famille ca ne va PAS e s'arrangeant, mais en empirant!! et ca devient un enfer!! et je l'ai vecu ausi avec un ex dt j ai finalement reussi a me defaire qd j ai senti que c etait un instinct de survie de partir. tu as ete trop couvé et proetege et tu ne sais pas te proteger tt seul. mais tu es adulte et c'est a toi de veiller sur toi-meme. Elle n'arretera pas tant qu'elle ne verra pas de reaction de ta part qui lui mette des limites fermes; apprend a te faire respecter et lui mettre des limites. flor flor27 c'est vrai que ce n'est pas nouveau, et ce qui me pousse à accepter tout çà , c'est la dépendance affective, dans le passé j'ai essayé de rompre plusieurs fois mais je n'ai jamais réussi de passer à l'acte grosse dépression alors j'ai fait une psychothérapie pendant 5 ans et j'ai arreté car je n'avançais pas...j'ai aussi consulté plusieurs voyants qui m'ont tous dit la meme chose "vous ferez toute votre vie avec elle...c'est le destin alors j'accepte tout çà ... papaya changer de pièce, je le fait déjà , effectivement çà la calme mais moi je sommatise et les ondes négatives qu'elle m'envoie me fait du mal physiquement et je met plusieurs jours avant de récupérer, ce que je voudrai c'est que çà colère glisse car je suis une véritable éponge. dans mon enfance j'étais très couvé par ma mère vis à vis d' un père alcoolique et violent...ma psy m'avais dit que j'avais été trop protégé et après lorsque je ne l'étais plus, j'ai commencé à en souffrir... lotus-motus je me reconnais dans le couple de ton appartement voisin, mnt je veut bien essayer de recadrer c'est bien mon objectif 1 mais qu'elle veuille bien le reconnaitre elle dit que c'est pas vrai en criant encore plus fort 2 et surtoutque j'arrive à ne plus sommatisé de ses émotions négatives... celsius
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