Taiwanest le premier producteur de semi-conducteurs au monde si la chine s'empare du pays ils pourront contrôler la production et les prix de l'électronique dans le monde entier, les USA vont tout faire pour empêcher que ça arrive. Répondre Citer.
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Réponse malhonnête et inepte à la pandémie » « L'exemple le plus dévastateur est sa réponse malhonnête et inepte à la pandémie de Covid-19,
Cequi surprend dans cette partie du site, c'est l'absence totale de références aux pays concernés par cette catastrophe, à leur gouvernement, aux structures locales, bref, tout ce qui peut laisser entendre qu'avant d'être les victimes d'une catastrophe, les gens sont les habitant d'un pays, qui a ses lois, ses règles, certainement ses coutumes, et que tout cela ne peut pas
AccueilL'histoire Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . L'histoire . Comment la poussière de farine et une étincelle malhonnête ont fait exploser le plus grand moulin du monde en 1878 . 2022. 2022. Lorsque Cadwallader Colden Washburn a construit un moulin à Minneapolis en 1874, c'était le
LesMarocains Selon une étude publiée dans le magazine Nature, les Marocains sont le peuple le plus malhonnête de la planète. Un seul pays, également africain, égale le
5FzQKB. Dernières Infos - Crise politique AFP / le 22 juin 2022 à 10h46 Une manifestation contre le pouvoir militaire à Omdurman, au Soudan, le 16 juin 2022. Photo AFP L'Union africaine UA a annoncé tard mardi se retirer du dialogue censé remettre le Soudan sur la voie de la démocratie après le putsch d'octobre, dénonçant des discussions "malhonnêtes et opaques" auxquelles jusqu'ici seuls les militaires ont participé, les civils boycottant. "L'Union africaine ne peut pas poursuivre ces discussions malhonnêtes, opaques, qui écartent des participants ou les traitent de façon injuste", a expliqué à des journalistes Mohammed Belaïche, ambassadeur à Khartoum de l'UA. L'UA a suspendu le Soudan depuis le coup d'Etat mené le 25 octobre 2021 par le chef de l'armée, le général Abdel Fattah al-Burhane, qui ce jour-là a fait arrêter tous ses partenaires civils au pouvoir - libérés le Soudan est dans l'impasse sorti en 2019 de 30 ans de dictature militaro-islamiste d'Omar el-Bachir, il est de nouveau au ban des nations, privé d'aide internationale -40% de son budget- et s'enfonce dans le marasme. La répression des manifestants pro-démocratie a fait une centaine de morts et se poursuit, régulièrement dénoncée par la communauté internationale. En raison de ces violences et parce qu'ils ne veulent plus d'un partenariat militaires-civils comme en 2019, les principaux blocs civils et les partis historiques du Soudan refusent désormais de négocier avec les tout, l'ONU, l'UA et l'organisation régionale est-africaine Igad avaient lancé début juin un dialogue censé remettre le pays sur les rails. Mais les seuls à avoir répondu présent étaient les militaires et leurs alliés parmi les anciens rebelles ayant signé la paix avec Khartoum après la chute de Omar el-Bachir. Quelques rares civils avaient aussi assisté à cette première rencontre, mais ni les Forces de la liberté et du changement FLC, colonne vertébrale du gouvernement civil limogé lors du putsch, ni le parti Oumma, le plus ancien du pays, ni les Comités de résistance, qui animent les manifestations anti-putsch n'avaient accepté de participer. Ces pourparlers ont été reportés sine die notamment après que des diplomates américains ont tenté en vain d'intercéder auprès des civils. L'Union africaine UA a annoncé tard mardi se retirer du dialogue censé remettre le Soudan sur la voie de la démocratie après le putsch d'octobre, dénonçant des discussions "malhonnêtes et opaques" auxquelles jusqu'ici seuls les militaires ont participé, les civils boycottant. "L'Union africaine ne peut pas poursuivre ces discussions malhonnêtes, opaques, qui écartent des... Sur le même sujet
Bilan de Félix Tshisekedi "C’est extrêmement malhonnête que Moïse Katumbi dise qu’il ne partagera pas le bilan de l’Union Sacrée" Jean Thierry Monsenepwo 2022-03-04 Moise Katumbi et Félix Tshisekedi, président de la République "Le bilan du Président Félix Tshisekedi est nul, Ensemble pour la République ne le partagera pas en 2023". C’est l’une des phrases qui est ressortie de l’interview de Francis Kalombo, cadre du parti Ensemble. Jean Thierry Monsenepwo de la Convention des Congolais Unis CCU a tenu à réagir à ces propos du cadre du parti de Moïse Katumbi, sur le bilan du Président Félix Tshisekedi. Pour Monsenepwo, quand les choses ne marchent pas il faut avoir le courage de quitter le navire comme l’ont fait certains hommes politiques à l’époque de Kabila. "Certains grands hommes politiques de ce pays quand ils ont vu le système ne pas marcher, ils ont démissionné, ils se sont auto-exclus de l’AMP Alliance de la Majorité Présidentielle notamment ; Mr Olivier Kamitatu, Mwando Osimba, Pierre Lumbi, Moïse Katumbi et autres", a-t-il rappelé. Jean Thierry Monsenepwo Jean Thierry Monsenepwo continue, "ceux qui sont au Gouvernement aujourd’hui, du parti Ensemble, ne partagent ce même point de vue parce qu’ils sont sur terrain et voient ce qui se passe. Par exemple, le ministre du Plan grâce à qui nous avons vu la matérialisation du programme de développement de base des 145 territoires. Autre exemple le ministre Sherubin Okende grâce à qui la RDC aura une deuxième compagnie aérienne à côté de Congo Airways,…", a-t-il relevé tout en déplorant la position de président de Ensemble pour la République. "C’est extrêmement malhonnête que Katumbi dise qu’il ne partagera pas le bilan du Félix Tshisekedi. C’est comme si la défaite du club Mazembe est dû à un seul joueur sur terrain". Hénoc MCP / 8808 suivent la conversation 24 commentaires
Publié le 21/10/2015 à 1526, Mis à jour le 21/10/2015 à 1528 L'opposante Aung San Suu Kyi, dont le parti est grand favori des législatives du 8 novembre, a accusé mercredi certains de ses opposants de mener une campagne "malhonnête", alors que le gouvernement sortant promet des élections libres."Lors de notre campagne à travers le pays pour les élections de 2015, nous avons appris que certaines personnes et partis politiques ne respectaient pas les règles ou utilisaient des méthode de campagne malhonnêtes", a lancé Suu Kyi devant des milliers de partisans, lors d'un meeting électoral à Tachileik, en Etat Shan, dans l'est de la n'a cependant pas accusé nommément le parti au pouvoir, l'USDP, composé d'anciens apparatchiks militaires convertis aux réformes depuis l'autodissolution de la junte en 2011. Depuis le début de la campagne, la Ligue nationale pour la démocratie LND de Suu Kyi et l'USDP se sont mutuellement accusés de recourir à des méthodes de campagne malhonnêtes, sans jamais les LIRE AUSSI » Un cessez-le-feu imparfait signé en Birmanie
Le Premier ministre britannique Boris Johnson embarquant dans un avion à l'aéroport de Stansted près de Londres, pour se rendre en Inde, le 20 avril 2022 Stansall Article Abonné "C'était étrange d'éprouver si peu de joie le jour venu, compte tenu des centaines de milliers de mots et des centaines d'heures que j'avais consacrés à faire campagne pour le départ de Boris Johnson. Cela tient pour partie au fait que son discours de démission était une nébuleuse de mensonges, de demi-vérités, de fourberies, de fausses allégations et de manipulations qui sont sa marque de fabrique depuis qu'il est devenu d'abord un personnage médiatique, puis politique, c'est-à -dire depuis des décennies. Il n'a même pas pu se résoudre à prononcer le mot "démissionner", ni à s'excuser pour les nombreux méfaits qui ont conduit son parti à se retourner contre lui. Il se "désole" simplement de quitter un emploi qu'il adorait. Mais mon incapacité à savourer cet instant était surtout liée au fait que, tandis qu'il se tenait debout à son pupitre, devant la célèbre porte du 10, Downing Street, toute la satisfaction que je pouvais éprouver à l'idée de le voir partir était éclipsée par l'écoeurement de savoir qu'il avait pu un jour accéder à ces fonctions. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Suffisamment d'encre a déjà coulé pour décrire les mensonges, les calomnies, les promesses fausses ou rompues, les histoires inventées de toutes pièces, les épouses trompées, les maîtresses et les enfants, les scandales financiers, les bévues à répétition et l'incompétence de Boris Johnson. Mais, au moins, bientôt - pas assez tôt cependant, puisqu'il continue de "squatter" Downing Street [jusqu'à la désignation de son successeur, NDLR] - il partira, et nous n'aurons plus à passer autant de temps à penser au personnage ou à parler de lui. De grandes questions demeurent néanmoins quant aux écosystèmes politique et médiatique qui lui ont permis de se hisser aussi haut. L'homme qui disait n'importe quoi Quiconque le connaissait ou avait travaillé avec lui savait que l'homme était un menteur. Quiconque avait eu personnellement affaire à lui savait qu'il était peu fiable et peu digne de confiance. Quiconque avait suivi sa carrière de journaliste, de député ou de maire de Londres savait qu'il était peu sérieux, cossard, indifférent à la fois aux tenants et aux aboutissants de la politique et à ses conséquences. Pour Johnson, la politique, comme le journalisme, était un jeu dont lui-même fixait les règles, avec pour objectif sa propre ascension, les intérêts du peuple et du pays arrivant loin derrière les siens. Tout le monde, y compris ceux et celles qui feignent la surprise en voyant son mandat de Premier ministre se terminer en Bérézina, savait tout cela. Les députés qui ont voté pour lui le savaient. Les ministres qui siégeaient comme de gentils toutous à la table du Cabinet, riant à ses plaisanteries, fermant les yeux sur ses défauts, répétant docilement les mensonges ou les excuses qu'ils avaient pour consigne de seriner quand il se trouvait ballotté de scandale en scandale, manoeuvrant pour étouffer chaque affaire, le savaient aussi. Mais ils ont préféré faire l'autruche. Parce que, dans le jeu politique, ils voyaient en lui un winner. Bien sûr, il est plus facile de gagner quand vous êtes prêt à dire littéralement n'importe quoi - la vérité comme le mensonge - qui soit susceptible de faire progresser votre cause, et que vous êtes issu d'une culture médiatique qui place la vérité et les faits au second plan derrière la force d'un sujet, et dans laquelle quantité de journaux cessent de demander des comptes aux puissants, préférant aider à devenir plus puissants ceux qui, parmi ces derniers, portent leur vision du monde. Le Daily Mail, le Daily Express, le Sun et le Daily Telegraph ont parfois donné l'impression d'être le service de presse de Johnson plutôt que des journaux cherchant à informer leurs lecteurs de l'état du pays. Ils portent une grande responsabilité dans le malaise politique actuel - à tel point que, sous Johnson, le Royaume-Uni a fini par se ridiculiser sur la scène internationale. Le "winner" devenu "loser"Au bout du compte, s'il est tombé en disgrâce, c'est pour la mauvaise foi dont il a fait preuve à plusieurs reprises au sujet d'un agresseur sexuel récidiviste qu'il avait nommé à un poste en vue. Mais, en vérité, il avait réchappé à bien pire par le passé. Ce n'est pas la découverte soudaine de l'existence de principes moraux qui a fait changer d'avis les ministres et les députés. C'est de s'être rendu compte, tout à coup, que Johnson n'était plus un winner. Qu'il était désormais méprisé par une bonne partie du pays. Qu'il était un loser. Et que, s'il restait, il risquait de porter préjudice au parti. Il restera dans les annales comme le Premier ministre le plus malhonnête, le plus corrompu, le plus incompétent, le plus déshonoré de notre histoire, celui qui a causé le plus de tort à notre Parlement, à notre Etat de droit, à nos médias dont la BBC, à notre diplomatie et à notre place dans le monde, et au processus de paix en Irlande du Nord. Le fait que Joe Biden ne se soit même pas résolu à citer son nom dans sa brève réaction à son discours de démission donne une idée de l'étendue des dégâts infligés à notre relation privilégiée avec les Etats-Unis. Pour ce qui est des alliances avec nos plus proches voisins d'outre-Manche - et notamment avec le président français, lassé de ses mensonges et de ses clowneries depuis belle lurette -, elles ont autant souffert que les pièces dans lesquelles Johnson avait organisé des fêtes clandestines pendant la crise sanitaire - au point d'ailleurs que, de tout le pays, c'est le 10, Downing Street qui aura écopé des plus fortes amendes pour non-respect du confinement ! "Un menteur et un charlatan"Et pourtant, même quand l'homme et ses singeries auront été relégués aux oubliettes depuis longtemps, il est probable que l'essentiel de son héritage - le Brexit - restera en vigueur. Le fait que Johnson soit aujourd'hui considéré par tous comme un menteur et un charlatan - qui avait fait usage des mêmes basses manoeuvres pour décrocher la victoire au référendum voilà six ans - ne semble pas avoir modifié l'opinion d'une bonne partie de l'échiquier politique, qui juge impossible de revenir sur le Brexit. C'est là la vraie tragédie et la raison pour laquelle je me sentais incapable de célébrer son départ. Car l'ironie de l'histoire, c'est que le locataire le moins sérieux et le plus inconsistant que Downing Street ait jamais vu est responsable de ce qui est sans doute le plus grave et le plus profond changement dans notre pays depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est donc parti, sans doute pour donner à travers le monde, en échange d'une petite fortune, des conférences à des hommes d'affaires qui riront à ses bons mots, et pour écrire des mémoires aussi véridiques que des fake news sur le grand homme d'Etat qu'il fut. Il part couvert de honte et de disgrâce, et cela ne lui fera ni chaud ni froid, puisqu'il ne connaît pas la honte. Mais la désolante pièce maîtresse de son héritage restera, elle, et il faudra plus qu'un changement de Premier ministre pour y remédier ou pour réparer les dégâts infligés à notre politique par un sociopathe narcissique qui, malheureusement, a eu plus de mille jours devant lui pour semer la désolation dans le pays." Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
La Belgique n’est pas le deuxième pays le plus antisémite d’Europe, répète Philippe Markiewicz. Le président du Consistoire dénonce la diabolisation entreprise autrefois chez nous par Moshe Kantor, un proche de Vladimir Poutine. Article réservé aux abonnés Journaliste au service Forum Publié le 25/04/2022 à 1454 Temps de lecture 7 min Dans sa dernière Lettre de la City Le Soir 12 avril 2022, notre chroniqueur Marc Roche relatait la mise au ban par le Royaume-Uni de Moshe Kantor, ce milliardaire proche de Vladimir Poutine. Kantor, écrivait-il notamment, a tenu la Belgique pour être le deuxième pays le plus antisémite d’Europe ». Philippe Markiewicz, le président du Consistoire central israélite de Belgique, revient sur ces propos. Le Royaume-Uni a sanctionné le milliardaire Moshe Kantor en raison de sa proximité avec Vladimir Poutine. Une réaction ? Cet article est réservé aux abonnés Avec cette offre, profitez de L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info Aussi en Société Une camionnette fonce sur une terrasse à Bruxelles le conducteur inculpé pour tentative de meurtre Six blessés légers sont à déplorer après qu’une camionnette de livraison a foncé à très vive allure sur des personnes attablées en terrasse. Par Arthur Sente Le barreau de Bruxelles pointe des problèmes majeurs» en vue du procès des attentats Par Arthur Sente Horeca, logement, enseignement... voici tout ce qui change le 1er septembre
quel est le pays le plus malhonnête au monde