Bonjourà toutes et à tous Ce petit blog est destiné à mettre à la disposition des instituteurs et professeurs des écoles les quelques poèmes de Miguel Dey destinés à la jeunesse. Bien évidement d'autres peuvent utiliser les poèmes qui sont dans ce blog. Lire la suite 26 juin La grenouille Une grenouille Qui part en vadrouille, Partout farfouille Greville et patrouille. Mais Ledésespoir des singes. Et autres bagatellesVoix sans pesanteur, beauté intemporelle, silhouette élancée, Françoise Hardy est surtout une auteur-compositeur- interprète . HTTP1.0 200 OK Cache-Control: no-cache, private Date: Sat, 02 Apr 2022 21:03:19 GMT Listento La guerre des boutons on the French music album La guerre des boutons en chansons by Patapouf, only on JioSaavn. Play online or download to listen offline free - in HD audio, only on JioSaavn. Jai craqué mon pantalon. En sortant de la maison. C'était un beau pantalon. Bien douillet tout bon chaud pour l'hiver. J'ai craqué mon pantalon. En sortant de la maison. Ouh la la. Qu'est-c'que j'ai fait là. J'avais pas l'droit d'sortir. Lesmeilleures offres pour #3*RARE*BOUTON XS*ALLEMAGNE*WW 2*39/45*ORIGINAL*COLLECTOR*NO COPY* sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d 'occasion Pleins d 'articles en livraison gratuite! lv7Mv. MON PANTALON EST DECOUSU – Chanson dès 8 ans MON PANTALON EST DECOUSU – Chanson dès 8 ans JEUDI 14 AVRIL I 19H I THEATRE LA PASSERELLE Séance scolaire jeudi 14 avril - 14h30 Avec Laurent Viel, chant Marc Wyseur, chant Thierry Garcia, guitare, banjo Cie les Palétuviers Mise en scène Laurent Viel, Marc Wyseur, Félix Pruvost Scénographie, costumes Muriel Delamotte Création son Jérôme André Conception lumière Anne Coudret Production Les Palétuviers ; L’ARC, scène nationale du Creusot ; JMF Avec l’aide de la DRAC Bourgogne, du Conseil régional de Bourgogne, du Conseil général de Saône-et-Loire, de l’ADAMI et de la SACEM. Coréalisation JMF – Théâtre La passerelle, scène nationale de Gap et des Alpes du Sud. Site internet Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu MON PANTALON EST DECOUSU - Le concert Qui était mon grand-père, quand il était petit ? Voilà la question à laquelle ce trio a choisi de répondre à travers une vraie pièce de théâtre musical un voyage en chansons qui retrace l’histoire de la première moitié du XXe siècle. Tout commence comme un récital. Mais, très vite, des voix surgissent celles de nos grands-parents et arrière-grands-parents nous parlant de l’éducation d’antan, de leurs premières amours, de leurs premières peurs face à la guerre et à l’Occupation… Les chansons suivent le fil de ces mémoires, souvent drôles Au lycée Papillon, La confiture, poétiques En sortant de l’école sur un texte de Prévert ou effleurent tout en délicatesse les drames de l’Histoire, avec les orphelins des Boutons dorés et l’ombre du Grand Lustucru. La guitare électrique et les arrangements résolument modernes de Thierry Garcia permettent une découverte dépoussiérée du riche répertoire fredonné entre 1920 et 1960. La malle aux souvenirs est ouverte et notre duo de chanteurs s’en donne à cœur joie, porté par une mise en scène haute en couleurs où des pierres phosphorescentes, tels les cailloux du Petit Poucet, se disputent avec un oreiller géant se métamorphosant en tableau d’école ! Laurent Viel et Marc Wyseur ont à cœur d’allier théâtre, chanson et mémoire. Ce nouveau spectacle, festif et richement documenté, offre à l’enfant d’aujourd’hui l’occasion de découvrir ce que fut l’enfance de ses aïeux. Une belle occasion de pour suive le dialogue en classe … et en famille. LE PROGRAMME La Confiture, Frères Jacques Né le 05/05/35 à 05h05, Laurent Viel, Marc Wyseur Papa n’a pas voulu, Jean Nohain, Mireille Si vous connaissiez Papa, Pierre Soulaine, Marc Wyseur Le Lycée Papillon, Georgius ; M. Tuel En sortant de l’école, Jacques Prévert, Joseph Kosma Les boutons dorés, Jean-Jacques Debout Eh Toto, Boby Lapointe Quand Zézette zozote, Jean Rodor, Léon Dommel, Emile Gavel Le vieux Château, Jean Nohain, Mireille Les Joyeux Bouchers, Boris Vian Le Grand Lustucru, Jacques Deval, Kurt Weill Et la fête continue, Jacques Prévert, Joseph Kosma Qui craint le Grand Méchant Loup, Churchill, A. Ranell Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu MON PANTALON EST DECOUSU - Paroles de chansons Le Grand Lustucru Quel est donc, dedans la plaine, Ce grand bruit, qui vient jusqu’à nous ? On dirait un bruit de chaînes Que l’on traîne, que l’on traîne Que l’on traîne sur les cailloux C’est le Grand Lustucru qui passe C’est le Grand Lustucru qui mangera Tous les petits gars qui ne dorment guère Tous les petits gars qui ne dorment pas. Quel est donc sur la rivière Ce grand bruit qui vient jusqu’ici ? On dirait un bruit de pierres Que l’on jette, que l’on jette Que l’on jette dedans un puits L’angélus sonne sur Ballanche Un pigeon tombe du clocher Quel est donc ce bruit de branches Que l’on traîne, que l’on traîne Que l’on traîne sur le plancher ? C’est le Grand Lustucru qui passe Et ce soir, c’est moi qu’il vient chercher Moi ce soir, parce que je ne dors guère Moi ce soir, parce que je ne dors pas ! En sortant de l’école En sortant de l’école Nous avons rencontré Un grand chemin de fer Qui nous a emmenés Tout autour de la terre Dans un wagon doré Tout autour de la terre Nous avons rencontré La mer qui se promenait Avec tous ses coquillages Ses îles parfumées Et puis ses beaux naufrages Et ses saumons fumés Au-dessus de la mer Nous avons rencontré La lune et les étoiles Sur un bateau à voiles Partant pour le Japon Et les trois mousquetaires des cinq doigts de la main Tournant la manivelle d’un petit sous-marin Plongeant au fond des mers Pour chercher des oursins. Revenant sur la terre Nous avons rencontré Sur la voie de chemin de fer Une maison qui fuyait Fuyait tout autour de la terre Fuyait tout autour de la mer Fuyait devant l’hiver Qui voulait l’attraper. Mais nous sur notre chemin de fer On s’est mis à rouler Rouler derrière l’hiver Et on l’a écrasé Et la maison s’est arrêtée Et le printemps nous a salués. … JACQUES PREVERT- JOSEPH KOSMA Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu LA COMPAGNIE LES PALETUVIERS – LES ARTISTES LA COMPAGNIE LES PALETUVIERS Réunis par la même passion pour le théâtre et la chanson, Laurent Veil et Marc Wyseur ont fondé la compagnie Les Palétuviers en 2000, dans le cadre des Chorus des Hauts-de-Seine. Avec leur complice Thierry Garcia, arrangeur et musicien, ils explorent le répertoire de la chanson française, spectacle après spectacle. Interroger l’époque, les hommes, les femmes, réinventer des chansons déjà existantes, enfin parler de nous avec émotion et engagement, est l’essence même du travail et du désir de la compagnie. » LAURENT VIEL, Comédien, chanteur, auteur, compositeur Son premier album est sélectionné par la Fnac en coup de cœur ». On le retrouve sur des scènes aussi différentes que le Festival Chorus des Hauts-deSeine, le Festival Georges Brassens, au Café Ailleurs, aux Francofolies de La Rochelle… Auteur-compositeur, il enrichit son répertoire en collaborant avec Xavier Lacouture pour les textes et Thierry Garcia pour la musique. Il multiplie les rencontres professionnelles Olivia Ruiz, Enzo Enzo, Jean Guidoni… et arpente les scènes parisiennes. En 2005, il sort son deuxième album, L’impatience. En 2007, il crée un récital sur Jacques Brel, Viel chante Brel. Il est également acteur et intervenant artistique en classe théâtre. MARC WYSEUR, Comédien, chanteur Comédien, formé au conservatoire de Rouen, Marc Wyseur a travaillé avec Stella Serfaty, Nadine Varoutsikos, Ivan Morane, Manuel Rebjock, Sophie Renaud, JeanClaude Gal, etc… dans des pièces de Molière, Corneille, Musset, Calaferte, Feydeau, Rouahbi… Il crée avec Laurent Viel la compagnie Les Palétuviers. Il met ainsi en scène sur plusieurs spectacles musicaux, La mémoire qui chante, Que reste-t-il de leurs amours ?, En avant… Du théâtre à la chanson, en passant par des spectacles musicaux d’écriture contemporaine tant théâtrale que musicale, il aime se retrouver dans des formes de spectacles originales alliant textes et musiques. THIERRY GARCIA, Guitariste, compositeur, arrangeur Après des études de guitare classique avec Alberto Ponce et de guitare jazz avec Marc Fosset, Thierry Garcia s’est produit sur scène avec Charles Aznavour, Xavier Lacouture, Enzo Enzo, Alain Genty... Il a travaillé sur les albums d’Olivia Ruiz, et d’Alain Leprest. Depuis 1998, il participe avec Jacques Haurogné à trois créations autour des fabulettes d’Anne Sylvestre. Il fut également enseignant de guitare et d’harmonie-jazz. Depuis plusieurs années, il est de toutes les aventures de Laurent Viel, avec qui il compose et arrange les musiques. C’est ainsi que les deux hommes se sont amusés à revisiter et bousculer le répertorie de Brel. Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu EXTRAITS DE PRESSE Dans une scénographie très inventive, Laurent Viel et Marc Wyseur nous invitent à une traversée musicale empreinte de fantaisie, de malice et d’émotion. Ils sont accompagnés par Thierry Garcia, dont la guitare électrique soutient une interprétation moderne et personnelle de ces chansons anciennes réarrangées. » LA SCENE Mise en scène fine, ludique et percutante… Une soirée émouvante et chaleureuse, teintée par la liberté de ton, la fantaisie débridée et sans fard de la chanson réaliste mais aussi par une certaine irréverence qui empêche de nous prendre trop au sérieux. » LE JOURNAL DE SAONE ET LOIRE Un répertoire populaire avec des pointes de fantaisie, des adaptations modernes, un spectacle très dynamique avec débauche d’images, surprises et frissons. Une façon légère et élégante d’envoyer des messages aux jeunes d’aujourd’hui à travers le parcours des personnages mis en scène. » LA GAZETTE DU MORVAN Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu INFOS PRATIQUES Tarifs Plein tarif 14 € Tarif réduit 10 € Tarif jeune 7 € Durée 50mn Renseignements et réservations 04 92 52 52 52 Théâtre La passerelle 137 boulevard Pompidou 05010 Gap Cedex Plus d’info et photos sur Relations presse Sonia Kechichian I [email protected] I 04 92 52 52 46 Michèle Flaud I [email protected] I 04 92 52 52 45 Dossier de Presse I Mon pantalon est décousu Musiques 5 minutes à lire Publié le 30/11/21 Partager Joséphine Bakers au Strand Theater, à Broadway, en 1951. Bettmann Archive Au-delà du célébrissime “J’ai deux amours”, la Franco-Américaine compte à son actif de nombreux succès, comme la très latina et très fantaisiste “Conga Blicoti” ou encore le prophétique “Me revoilà Paris”. On ne se lasse pas de la réécouter. Ce 30 novembre, la divine, la scandaleuse Joséphine Baker sera la première femme noire à entrer au Panthéon. Elle sera surtout la première reine de music-hall et, plus généralement, la première artiste de spectacle vivant à rejoindre une longue liste de personnalités majoritairement issues des sciences, de la politique, de la littérature et de la Résistance. Car, derrière l’aura burlesque d’une carrière de strass et de paillettes, sous la fameuse ceinture de bananes qui a longtemps occulté ses nombreux faits d’armes dans la mémoire collective, se cachait une authentique héroïne française. Danseuse certes débridée, elle fut aussi une féministe avant l’heure, une châtelaine humaniste, la mère adoptive d’une tribu cosmopolite, une figure de la Résistance en France et de la lutte antiraciste aux États-Unis, une fervente patriote qui mit sa notoriété et sa fortune au service du renseignement pendant la guerre, allant jusqu’à refuser la proposition du président de Gaulle d’éponger ses dettes en remerciement de son engagement citoyen. Retour en cinq titres sur le destin hors norme de la plus illustre étoile noire » de la chanson française, entre charleston sauvage et mambo chic, fox-trot félin et variété bucolique. 1. “After I Say I’m Sorry” 1927 Recrutée à Broadway pour ses mimiques et gesticulations burlesques, Joséphine Baker s’est d’abord imposée en France comme danseuse, au Théâtre des Champs-Élysées, avec son charleston de sauvageonne dans La Revue nègre, puis aux Folies Bergère, en faisant valdinguer sur ses hanches sa célébrissime ceinture de bananes. En 1926, soit moins d’un an après son arrivée en France, celle que le Tout-Paris appelle désormais la Vénus d’ébène » ou l’Étoile noire » est l’incarnation sulfureuse d’un certain fantasme colonialiste, qu’elle moque jusqu’à la caricature, tout en rêvant d’une carrière moins dévêtue. La rencontre de Giuseppe Pepito » Abatino, comte » de pacotille devenu son amant et son impresario, lui a ouvert les horizons. C’est lui qui la lance dans la chanson, en lui faisant enregistrer des reprises de chansons populaires américaines, mais aussi des titres inédits, comme cet After I Say I’m Sorry, futur standard de jazz qui sera notamment repris par Ella Fitzgerald et Frank Sinatra. 2. “J’ai deux amours” 1930 J’ai deux amours, mon pays et Paris... » chante-t-elle sur la scène du Casino de Paris en 1930, lors de son premier récital public. Au Paris des Années folles qui lui a ouvert les bras, l’enfant pauvre de Saint-Louis devenue star du music-hall déclare sa flamme et sa reconnaissance, consciente qu’elle n’aurait pu connaître une telle ascension dans l’Amérique ségrégationniste. Pour l’occasion, le directeur du Casino lui a offert un léopard nommé Chiquita le cliché exotique demeure, mais grâce à son Pepito, elle a troqué le pagne contre une robe couture. La revue Paris qui remue triomphe pendant treize mois, l’imposant enfin comme une vraie chanteuse, et la chanson de Vincent Scotto va devenir le titre totémique auquel elle reviendra toujours au fil de sa carrière – comme en 1953, avec cette nouvelle version enregistrée avec l’orchestre de Jo Bouillon. Après guerre, meurtrie par une série d’incidents discriminatoires survenus au cours ses tournées aux États-Unis, cette fervente patriote qui a œuvré dans la Résistance va même modifier les paroles du refrain, pour chanter J’ai deux amours, mon pays, c’est Paris... » 3. “La Conga Blicoti” 1936 Que ce soit en campant la danseuse Banania » ou la Petite Tonquinoise, du nom de sa chanson assez controversée qui participait de la fantasmagorie coloniale sur la femme asiatique, Joséphine Baker a commencé à jouer avec les stéréotypes et les langues dès le début de sa carrière. Dans le film Princesse Tam-Tam, sorti en 1935, la scène du film qui a inspiré Woody Allen dans Midnight in Paris, elle campe une jeune danseuse tunisienne qui se fait passer pour une rani indienne dans la bonne société parisienne. Elle y chante et danse ! la très latina Conga Blicoti, sur les congas cubaines des populaires Lecuona Cuban Boys, dans un sabir franco-espagnol sans queue ni tête, mais qui sonne, percussif, plein de fantaisie, sucré et acidulé comme le cocktail Conga Blicoti inspiré par la chanson cognac, liqueur de banane et citron vert. 4. “Dans mon village” 1953 Française depuis son mariage avec le riche courtier Jean Lion, la très parisienne Joséphine Baker, muse des surréalistes et amie des grands couturiers Balmain, Dior, Guerlain..., qui se balade en ville avec son léopard, vit son rêve de campagne avec la même exubérance. Elle a loué le château des Milandes, en Dordogne, dès 1937, s’y est réfugiée sous l’Occupation, y a caché des armes et des Juifs dont son ex-époux, Jean Lion pendant la guerre. Avec le chef d’orchestre Jo Bouillon, son quatrième mari, elle l’a finalement acheté en 1947, ainsi que le bourg attenant. Car la châtelaine a la folie des grandeurs des infrastructures modernes, un grand parc d’attractions, le premier du genre en France, des animaux exotiques en pagaille et une batterie de gouvernantes pour élever leurs douze enfants adoptés sur les cinq continents et vivre son utopie de village du monde ». Dépassé, Jo Bouillon demandera le divorce en 1961. Criblée de dettes, elle finira par perdre le château et en sera expulsée manu militari en 1969. 5. “Me revoilà Paris” 1975 SDF, la chanteuse a pu retomber sur ses pieds avec l’aide de Grâce Kelly. La princesse de Monaco a en effet mis à sa disposition une résidence à Roquebrune-Cap-Martin. Ruinée, diminuée physiquement, la chanteuse de 62 ans doit pourtant remonter sur scène pour subvenir aux besoins de sa tribu arc-en-ciel. Invitée lors de galas de charité sur le Rocher, régulièrement programmée par son ami Jean-Claude Brialy à La Goulue, cabaret de Montmartre, elle donne aussi des concerts en Europe et aux États-Unis le Carnegie Hall de New York en 1973... jusqu’à ce Me revoilà Paris, entonné avec panache sur la scène de Bobino en mars 1975. C’est Brialy qui a eu l’idée de ce grand retour parisien une revue autobiographique, chorégraphiée avec quarante danseurs, pour le jubilé de ses cinquante ans de carrière. Lors de la première, les époux Grimaldi, Mick Jagger, Sophia Loren, Tino Rossi et tous les spectateurs présents lui font un triomphe. J’ai peut-être vieilli / Mais il n’est pas dit encore / Que moi je flanche / Et peut-être qui sait / Je finirai ma vie sur les planches », chante-t-elle devant un public en extase. Le 9 avril, au soir de la quatorzième représentation, elle s’endort et sombre dans un coma dont elle ne se réveillera pas, terrassée par un AVC dans un rêve de plumes et de strass. Cinq podcasts sur Joséphine Baker 5 minutes à lire Panthéon Partager Contribuer Écrans & TV 6 minutes à regarder Publié le 15/03/22 mis à jour le 16/03/22 Partager Entendez “Chornobryvtsi”, un chant populaire Ukrainien fédérateur, chanté et raconté sur la chaîne YouTube de France Musique par la soprano ukrainienne Iryna Kyshliaruk. C’est la chanson que chaque Ukrainien connaît par cœur, et qu’on chante à table, dans des occasions importantes, moins importantes, ou pour se soutenir. » Entonné a cappella par la chanteuse lyrique ukrainienne Iryna Kyshliaruk, le chant Chornobryvtsi résonne aujourd’hui avec encore plus d’émotion À travers cette chanson, c’est toute l’Ukraine qui chante. » Pour France Musique, la soprano, qui a fait ses études de chant au Conservatoire national supérieur de musique de Paris et vit en France depuis presque dix ans, raconte l’histoire de cette mélodie populaire écrite dans les années 60, quand l’Ukraine faisait encore partie de l’URSS. Choisie parmi l’immense répertoire national, elle célèbre le lien à la terre et ces fleurs particulières qu’on trouve partout dans le pays, les chornobryvtsi, des soucis de toutes les couleurs. Iryna Kyshliaruk conclut Quand il n’y a plus rien, la seule chose qui reste ce sont les chansons qu’on chante ensemble. » Guerre en Ukraine Le meilleur de YouTube Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner Les mariés de Vendée, paroles chanson LES MARIES DE VENDEE j’écrivais ton nom sur les pierres sur tes cheveux de lierre des ruines abandonnées je t’attendais à la rivière dans le bleu des fougères auprès d’un champ de blé j’écrivais... La Noce de la petite Victoire, chanson ancienne La Noce de la petite Victoire A la noce de la petite Victoire Après le dîner le garçon d’honneur Nous proposa d’aller à la foire et toute la noce partait en cœur Sur la... Mon père m’a donné un mari Mon père m’a donné un mari, Chanson en patois vendéen Mon père m’a donné un mari , au mé évie bis Au mé évie que je vole moulin sur la maison de l’école bis... 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Chanson l’aéropiane L’Aéropiane l’avion Dans nout’ville, ben tranquille, O y a combien d’aviateurs Qui durant de grandes journailles L’faisont des envolailles. Tout le monde s’grouille, s’ébouille Pour applaudir en chœur. Au d’sus de la place Saint-Hilaire... Chanson la vieille Jement Chanson vendéenne LA VIEILLE JEMENT » la vieille jument Chez nous, dans l’temps Y’aviant in, vieill’ je ment A la fi d’garce de j’ment Falait la vouère falait la vouère y l’ach’tirant A la fouèr... Partons la mer est belle, paroles chanson Partons la mer est belle – Paroles Chanson Amis, partons sans bruit, La pêche sera bonne, La pleine lune donne Le reste de la nuit. Je veux qu’avant l’aurore Nous soyons de retour, Pour... Re, re, regarde donc Cré nom de nom La petite dame au second Qui est à son balcon Qui a les yeux fixés comme un canon Sur le deuxième bouton De mon pantaki, de mon pantaka De mon pantako, de mon pantalon. Refrain Train' tes couilles par terre Prends ta pine à deux mains, mon cousin Nous partons en guerre A la chasse aux putains Ce n'est pas par le cul Que se font les cocus Mais c'est bien par le con Que les cocus se font. Re, re, re, regarde donc Cré nom de nom Les beaux nichons Cré nom de Dieu Les jolis yeux ! Cré nom d'un chien Et toi, et moi, ça ferait du bien ! Elle est pucelle bis Non, non, non, ce n'est pas vrai Y a-t-il des cocus parmi nous ? Lesquels sont-ce ? bis Y a-t-il des cocus parmi nous ? Tous, tous, tous !

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