Jevous propose aujourd'hui de dĂ©couvrir mes coups de coeur dĂ©co : let's go to Aix-en-Provence ! Je rĂȘvais depuis longtemps de dĂ©couvrir le salon Vivre CĂŽtĂ© Sud, qui se tient chaque annĂ©e au parc Jourdan Ă  Aix-en-Provence : c'est chose faite ! J'ai passĂ© deux jours de rĂȘve sous le soleil avec mes amies blogueuses ValĂ©rie Atelier Rue Question J’ai des douleurs en allant aux toilettes / Ă  selle et 1. il y a du sang rouge en grande quantitĂ© dans les selles. 2. j’ai de la fiĂšvre et des frissons et les douleurs sont augmentĂ©es par le passage de la selle. (voir aussi : J'ai de la fiĂšvre) 3. les douleurs ont commencĂ© soudainement aprĂšs le passage de la selle. Suggestas a translation of "j'ai envie d'aller au toilette" Copy; DeepL Translator Dictionary. EN. Open menu. Translator. Translate texts with the world's best machine translation technology, developed by the creators of Linguee. Dictionary. Look up words and phrases in comprehensive, reliable bilingual dictionaries and search through billions of online translations. Blog Press Jai toujours envie de faire l'amour. CelĂ  fait pratiquement 3 ans que je suis avec ma copine, et en ce moment j'ai tout le temps envie de lui faire l'amour, mĂȘme si elle m'a fait l'amour dans la journĂ©e, je ressens le besoin de recommencer. Au dĂ©but de notre relation nous faisions l'amour jusqu'Ă  cinq fois par jour (quand nous Ă©tions en Cettechambre baptisĂ©e Chambre de Madame est situĂ©e au 1er Ă©tage au centre du chĂąteau. D’une superficie de 53 mÂČ, avec ses 3 grandes fenĂȘtres elle est vĂ©ritablement exceptionnelle et sa vue est imprenable. Avec son salon et son bureau, vous n’aurez plus envie d’en bouger. TrĂšs confortable, avec son lit d'1m80 de large, sa salle de bain, sa dĂ©coration raffinĂ©e et authentique Ondoit aller au magasin bio tous les mois, voir tous les deux mois depuis que celui-ci a dĂ©mĂ©nagĂ© plus loin. Lorsque l’on a besoin d’un appoint, nous allons au petit supermarchĂ© au bout de la rue. Nous ne perdons plus de temps dans les hypermarchĂ©s, mĂȘme si Monsieur doit y aller une ou deux fois par an pour un besoin prĂ©cis (patins pour les chaises, multiprises). uhiHw. Chaque Ă©cole et enseignant a ses propres rĂšgles et procĂ©dures pour l'utilisation des toilettes. En tant qu'Ă©lĂšve, tu es censĂ© suivre ces rĂšgles. Cependant, mĂȘme si tu suis chacune d'elle Ă  la lettre, ton professeur peut refuser de te laisser sortir ou te demander d'attendre un moment. Tu peux augmenter tes chances de pouvoir aller te soulager en demandant la permission aux moments appropriĂ©s, en respectant la dĂ©cision de ton professeur puis en sortant et en revenant en classe sans dĂ©ranger les autres. 1 Essaie de connaitre les rĂšgles pour aller aux toilettes. Ces rĂšgles varient d'une Ă©cole Ă  une autre, d'un enseignant Ă  un autre et d'une classe Ă  une autre. Si tu ne comprends pas les rĂšgles pour aller aux toilettes aux heures de cours, demande des Ă©claircissements Ă  ton enseignant. Si tu ne t'en souviens plus, demande-lui de te les rappeler. Si pour une raison ou une autre, tu ne peux pas te conformer Ă  une partie de ces rĂšgles, prends rendez-vous au cours duquel tes parents, ton enseignant et le directeur de l'Ă©cole seront prĂ©sents afin de discuter du problĂšme et trouver une solution sur laquelle tout le monde peut s'entendre [1] . Que tu sois au primaire, au collĂšge ou lycĂ©e, tu auras certainement besoin de demander la permission d'aller aux toilettes. Si tu es Ă  l'universitĂ©, la majoritĂ© des professeurs te permettront d'aller et venir dans la classe comme bon te semble. Dans ce cas, dĂšs que tu souhaites aller aux toilettes, sors et rentre dans la salle en silence. Si tu es un Ă©lĂšve Ă©tranger, demande Ă  ta famille d'accueil, ton colocataire ou ton enseignant de t'expliquer les normes culturelles du pays concernant l'utilisation des toilettes Ă  l'Ă©cole. 2 Choisis le moment appropriĂ© pour demander la permission. Avant de demander la permission d'aller te soulager, assure-toi que le moment est propice pour le faire. Demande-toi Est-ce le bon moment pour demander au professeur de quitter la salle ? » Évite d'interrompre le professeur lorsqu'il est en pleine explication ou pendant le cours. Demande-lui la permission pendant que vous ĂȘtes en travail individuel, lorsque tu as terminĂ© ton travail ou aprĂšs avoir terminĂ© un devoir. S'il s'agit d'une urgence, reste calme et demande la permission dĂšs que possible [2] . 3 Demande Ă  aller aux toilettes. Chaque enseignant a une rĂšgle propre Ă  lui lorsqu'il s'agit de demander la permission d'aller aux toilettes. Certains prĂ©fĂšrent la mĂ©thode traditionnelle consistant Ă  lever la main pour obtenir la permission. D'autres trouvent que cela gĂȘne. Ils prĂ©fĂšrent que l'Ă©lĂšve utilise un autre signe de la main. LĂšve la main, attends patiemment qu'on t'appelle et demande la permission d'aller te soulager. S'il vous plait, je peux aller aux toilettes, madame monsieur ? » LĂšve la main en faisant le signal spĂ©cial peut-ĂȘtre en croisant les doigts et attend patiemment qu'il ou elle rĂ©ponde. Si ton professeur est d'accord, il peut simplement hocher la tĂȘte pour te laisser partir. S'il pense qu'il vaut mieux que tu attendes un peu, il peut secouer la tĂȘte pour dire non » ou lever le doigt pour te faire signe d'attendre un moment [3] . 4 Respecte la rĂ©ponse de ton professeur. Il ou elle peut te rĂ©pondre de trois façons diffĂ©rentes oui », non » et pas maintenant ». Si tu n'entends pas oui », respecte sa dĂ©cision. S'il s'agit d'une urgence, dis-lui que tu ne peux pas attendre. Si le professeur dit oui, dis-lui merci et vas-y. Une fois que tu auras fini, va Ă  ta place en silence. S'il dit non » ou s'il te demande d'attendre un peu, attends un peu avant de lui redemander. PublicitĂ© 1 Remplis le laissez-passer pour aller aux toilettes. Dans certaines Ă©coles, notamment au collĂšge et au lycĂ©e, les Ă©lĂšves doivent parfois remplir un laissez-passer chaque fois qu'ils ont l'intention de sortir de la classe. GĂ©nĂ©ralement, un certain nombre de laissez-passer est remis Ă  l'Ă©lĂšve chaque semestre ou trimestre. Lorsqu'un Ă©lĂšve utilise tous ses laissez-passer, il doit attendre la prochaine pĂ©riode pour en obtenir plus. Au primaire, l'enseignant peut te remettre un certain nombre de laissez-passer imprimĂ©s, que tu dois remplir avec les informations suivantes lorsque tu dois aller aux toilettes la date ; ta classe ; la raison de l'utilisation du laissez-passer [4] . 2 Renseigne-toi sur le moment propice pour voir ton laissez-passer signĂ©. Plus spĂ©cifiquement, demande Ă  ton enseignant s'il y a un moment appropriĂ© pour qu'il le signe. Une fois que tu auras rempli ou trouvĂ© ton laissez-passer, attire subtilement l'attention de ton enseignant. LĂšve le laissez-passer jusqu'Ă  ce qu'il te remarque. Lorsqu'il t'appelle ou s'approche de ton siĂšge, demande-lui si tu peux aller aux toilettes. À moins qu'il ne s'agisse d'une urgence, ne lui demande pas la permission d'y aller lorsqu'il donne des instructions ou lorsqu'il est au milieu d'une leçon. Les moments les plus opportuns sont aprĂšs la fin d'un devoir, lors de la rĂ©alisation d'une activitĂ© individuelle ou lorsque vous avez l'intention de passer Ă  une autre activitĂ© [5] . 3 Accepte la rĂ©ponse du professeur. Lorsque tu lui demandes la permission d'aller te soulager, il peut rĂ©pondre oui », non » ou attend un peu ». S'il refuse ou te demande d'attendre, reste calme et respectueux. S'il s'agit d'une urgence, explique-lui la situation et excuse-toi. S'il accepte, donne-lui le laissez-passer Ă  signer. Quitte la salle en silence, va aux toilettes rapidement et rentre en silence. S'il refuse ou te demande d'attendre, attends un moment avant de demander Ă  nouveau [6] . PublicitĂ© 1 Va faire tes besoins pendant les pauses ou la recrĂ©ation. De nombreux enseignants et directeurs prĂ©fĂšrent que les Ă©lĂšves utilisent les toilettes Ă  ces moments-lĂ . Selon les enseignants, aller aux toilettes pendant l'heure de la pause et du dĂ©jeuner augmente le temps de prĂ©sence des Ă©lĂšves dans la classe. Bien que certains Ă©lĂšves parviennent Ă  s'organiser de cette façon, d'autres n'ont tout simplement pas le temps de le faire. Si tu as du temps entre les cours, fais un effort pour aller aux toilettes avant le dĂ©but du prochain cours. Les enseignants apprĂ©cieront que les Ă©lĂšves s'organisent avant d'entrer en classe. Si l'intervalle entre les cours est trop court ou si les salles de classe sont trop Ă©loignĂ©es les unes des autres, fais de ton mieux pour te rendre aux toilettes entre les cours. Si tu n'as tout simplement pas le temps, demande la permission d'aller aux toilettes pendant les cours. 2 Signe quand tu sors pour aller te soulager. Aussi, fais-le quand tu entres dans la salle. Ton professeur peut t'autoriser Ă  sortir de la classe sans que tu aies Ă  demander la permission lorsque tu as envie d'aller te soulager. Dans ce cas, il peut te demander de signer avant d'entrer et de sortir de la classe. Cette feuille d'Ă©margement se trouve gĂ©nĂ©ralement prĂšs de la porte. LĂšve-toi tranquillement et signe le papier pour partir. Mets ton nom, la date, l'heure et l'endroit oĂč tu vas. Si le professeur te demande d'apporter un laissez-passer, prends-en un avant de quitter la salle. À ton retour, signe Ă  nouveau en prĂ©cisant l'heure de retour. Retourne Ă  ta place sans perturber le cours [7] . 3 Obtiens un laissez-passer pour les toilettes. Certains enseignants demandent aux Ă©lĂšves d'apporter un laissez-passer pour aller aux toilettes, une procĂ©dure qui perturbe gĂ©nĂ©ralement moins la classe. L'Ă©lĂšve utilise le laissez-passer sans avoir Ă  demander la permission Ă  l'enseignant et sans que celui-ci ne demande de signer quoi que ce soit. Dans ce cas, lorsque tu dois aller aux toilettes, lĂšve-toi tranquillement et va Ă  l'endroit oĂč sont placĂ©s les laissez-passer. Prends-en un et emporte-le avec toi aux toilettes. De retour en classe, remets le laissez-passer Ă  sa place et va Ă  ta place. Si tu te lĂšves pendant que le professeur parle, il se peut qu'il te demande d'attendre un peu. 4 Utilise les toilettes aux heures autorisĂ©es. Certains enseignants utilisent un panneau pour indiquer aux Ă©lĂšves exactement quand ils peuvent ou ne peuvent pas aller aux toilettes. Sur un cĂŽtĂ© du panneau, on peut lire Vous pouvez aller aux toilettes sans demander la permission » et sur l'autre Veuillez patienter. Si c'est une urgence, faites-moi savoir. » Si le panneau indique Vous pouvez aller aux toilettes sans demander la permission », lĂšve-toi tranquillement et pars. AprĂšs avoir fini, retourne Ă  ta place en silence. Si le panneau indique Veuillez patienter. Si c'est une urgence, faites-le-moi savoir », attends patiemment que l'enseignant retourne le panneau. S'il s'agit d'une urgence, prĂ©viens-le immĂ©diatement [8] . PublicitĂ© Conseils Montre que tu es responsable en ne demandant la permission que lorsque tu dois vraiment y aller. Ne prends jamais plus de temps que nĂ©cessaire. Demande toujours la permission Ă  aller aux toilettes Ă  des moments appropriĂ©s, par exemple, pendant le travail individuel d'une activitĂ©. Évite de demander la permission Ă  ton professeur lorsqu'il est au milieu d'une explication. S'il y a un risque imminent que tu urines dans ton pantalon, parle avec l'enseignant en privĂ©. Explique-lui la situation et demande poliment la permission. Lorsque tu y vas, sors et retourne dans la salle de classe en silence. Fais de ton mieux pour garder les toilettes propres et sures. Ne jette pas de dĂ©chets ou de papier par terre. Ne bouche pas les Ă©viers et les urinoirs avec des serviettes en papier et ne laisse pas l'eau couler. Jette le papier toilette et les tampons hygiĂ©niques Ă  la poubelle ou tire la chasse d'eau. Si tu penses que le refus de l'enseignant Ă©tait dĂ©raisonnable, parles-en Ă  tes parents et au directeur de l'Ă©cole. PublicitĂ© Avertissements Si l'enseignant ne te permet pas de partir, ne te fĂąche pas et ne fais pas d'histoires. Tu pourrais ĂȘtre sĂ©vĂšrement puni. Au lieu de cela, reste calme et demande Ă  nouveau aprĂšs quelques minutes. PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 3 200 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Sandra souffre d'un handicap invisible. Elle paraĂźt bien portante mais est atteinte de rectocolite hĂ©morragique RCH, pouvant l'obliger Ă  se rendre d'urgence aux toilettes. Vers NoĂ«l 2018, le personnel d'un grand magasin l'a refusĂ©. Sandra a dĂ» faire sur le parking. Deux an plus tard, elle dĂ©nonce. PĂ©riode de NoĂ«l 2018. Sandra est sortie en famille. Dans une grande enseigne, elle va pouvoir trouver des guirlandes, des jouets... Ce sera un bon moment pour elle. Elle n'y a hĂ©las pas souvent droit, Ă  cause de la maladie qui l'affecte. De maniĂšre invisible, mais significative. On l'appelle la rectocolite hĂ©morragique RCH, dont on dit qu'elle est "la petite soeur de la maladie de Crohn". Son traitement est lourd, proche d'une chimiothĂ©rapie. Les symptĂŽmes des inflammations du cĂŽlon et du rectum, qui causent des ulcĂšres amenant Ă  des lĂ©sions. La douleur et les inflammations causĂ©es peuvent gagner tout le corps. La RCH peut aussi rendre nĂ©cessaire de se rendre aux toilettes jusque 25 fois par jour. Ces envies sont subites, difficilement contrĂŽlables. Quand Sandra n'est pas trop "diminuĂ©e" pour sortir autour d'Altkirch Haut-Rhin, une alerte peut survenir Ă  tout humilianteC'est hĂ©las le cas ce jour-lĂ . Sandra a racontĂ© Ă  France 3 Alsace ce qui s'est passĂ©. Une situation inconcevable dans une sociĂ©tĂ© moderne, aux antipodes de la bienveillance et de l'inclusivitĂ©. Elle demande l'accĂšs des toilettes au personnel, sa carte de handicap Ă  l'appui. Refus. Elle tente d'expliquer sa situation, menaçant presque de faire entre les rayons. La rĂ©ponse est lapidaire. "Allez chier dehors, madame. Ici, on ne donne pas les toilettes." Et c'est ce qui va se produire. Son mari, rĂ©signĂ©, propose Ă  Sandra de retourner Ă  la voiture, se rendre dans la forĂȘt voisine. Mais trop tard. Plus le temps. La crise est trop intense. La voilĂ  obligĂ©e de faire entre deux voitures, ses enfants et son mari dĂ©ployant leurs manteaux pour la cacher aux regards. "Vos enfants sont lĂ , et ils comprennent trĂšs bien. Mais nous, on a honte, on se sent trĂšs mal. On n'a plus envie de sortir, de subir cette situation." À ce sujet, la rĂ©daction vous recommande Plaidoyer pour plus de sensibilisationSandra ne va pas mener de vendetta contre la grande enseigne, loin de lĂ . "Je ne dis pas que tous leurs magasins ou personnels sont comme ça... Mais me refuser d'aller aux toilettes, c'est presque partout, mĂȘme des petites boutiques. Et avec le covid, il y a encore plus de refus." Professionnellement, c'est compliquĂ© aussi. Elle a dĂ©missionnĂ©, son patron ne reconnaissant pas la rĂ©alitĂ© de son handicap pour la licencier Ă  l'amiable. Handicap invisible ne veut pas dire handicap facilement supportable. Au contraire. "Tous les handicaps sont compliquĂ©s, vous n'imaginez pas la souffrance... Si l'on ne voit pas votre handicap, les gens vous regardent de haut en bas quand vous passez devant dans la file. Alors qu'on peut souffrir, ou ĂȘtre trĂšs fatiguĂ©. Il faudrait faire plus de sensibilisation, pour le personnel et les gens en gĂ©nĂ©ral. Et dĂšs l'Ă©cole."Si l'on ne voit pas votre handicap, les gens vous regardent de haut en bas quand vous passez devant dans la qui a un handicap invisible "Les gens devraient se mettent Ă  notre place. Mais je ne souhaite ça Ă  personne." L'empathie et l'Ă©coute, comme demande Sandra, aurait aussi Ă©vitĂ© une cruelle situation Ă  une personne handicapĂ©e invisible d'OrlĂ©ans Loiret. Atteint de sclĂ©rose en plaques Sep, un monsieur s'est vu refuser une file prioritaire chez Bricorama. "Nous ne leur en voulons pas, il y a un manque d’éducation sur ce sujet. La situation suscitait des questions comment, sur ses deux jambes, peut-il ĂȘtre prioritaire ?" demandait sa fille, Sarah Nedjar, ayant mĂ©diatisĂ© la scĂšne. Une mĂ©diatisation encore nĂ©cessaire en 2020... Faire pipi, c’est normal. Mais passer dix fois par jour devant ses collĂšgues pour aller aux toilettes peut devenir gĂȘnant. Si vous vous inquiĂ©tez Ă  propos de la frĂ©quence de vos envies d’uriner et que vous avez remarquĂ© une augmentation inhabituelle, vous trouverez peut-ĂȘtre une explication parmi ces causes les plus de boissonsVous avez l'habitude de glisser une bouteille d’eau dans votre sac Ă  main ? Vous avez ajoutĂ© une tasse de cafĂ© ou de thĂ© en plus Ă  votre routine du matin ? Sans nous en apercevoir, nous augmentons parfois notre consommation de liquides et, forcĂ©ment, notre envie de faire infectionTrĂšs rĂ©pandues chez les adolescentes et jeunes adultes sexuellement actives, les infections urinaires simples comme les cystites peuvent augmenter la frĂ©quence des allers-retours aux toilettes. D’autres symptĂŽmes comme une sensation de brĂ»lure ou de douleur pendant que vous urinez peuvent vous mettre la puce Ă  l’oreille. Parlez-en rapidement Ă  votre mĂ©decin pour recevoir un traitement vidĂ©o Que faire en cas de cystites Ă  rĂ©pĂ©tition ?Une vessie hyperactiveEn temps normal, lorsque la vessie est pleine, les muscles se tendent, et les rĂ©cepteurs indiquent au cerveau qu’il est temps de faire pipi. Or, si vous souffrez d’hyperactivitĂ© vĂ©sicale, ces rĂ©cepteurs s’activent dĂšs le moindre signe de contraction musculaire, mĂȘme si la vessie n’est pas pressante est difficile Ă  retenir et peut sĂ©rieusement handicaper le quotidien. Les chercheurs sont toujours en train de travailler sur ce trouble afin de mieux le comprendre et de trouver des hormonesLe flux naturel des hormones fĂ©minines peut affecter notre vessie. Pendant des pĂ©riodes dĂ©licates comme le cycle menstruel, la mĂ©nopause ou la grossesse, l’envie d’uriner peut augmenter sensiblement chez certaines raisons moins communesParfois, une envie frĂ©quente de faire pipi peut cacher des troubles chroniques ou plus graves comme un fibrome utĂ©rin qui appuie sur la vessie, le syndrome de la vessie douloureuse aussi appelĂ© cystite interstitielle, un diabĂšte ou la sclĂ©rose en plaques. Pour cette raison, il est important de rester Ă  l’écoute de son corps et de ne pas sous-estimer les signaux qu’il nous cas de doute, vous pouvez tenir un journal de bord pendant quelques jours en notant tout ce que vous avez bu, et Ă  quelle heure, ainsi que le nombre de fois oĂč vous avez Ă©tĂ© aux toilettes. Puis parlez-en Ă  votre mĂ©decin. Que faire pour la personne ĂągĂ©e qui ne veut rien faire ? C’est lĂ  une question qui se trouve au cƓur de la pratique quotidienne du soignant, spĂ©cialement en maison de retraite. On sait que les EHPAD sont des lieux de vie, et qu’il convient d’organiser celle-ci de telle sorte qu’elle ressemble autant que possible Ă  la vie ordinaire. On sait que la personne ĂągĂ©e a besoin d’activitĂ© physique ; en cela elle ne diffĂšre pas de n’importe quel humain, Ă  ceci prĂšs qu’elle paie immĂ©diatement, elle, les consĂ©quences de la sĂ©dentaritĂ©. On sait qu’elle a besoin de stimulations intellectuelles, sous peine de tomber dans un Ă©tat d’apathie, voire d’aggraver les consĂ©quences d’un dĂ©clin cognitif. Et on voit les Ă©tablissements mĂ©dico-sociaux s’organiser pour que la journĂ©e de la personne ĂągĂ©e soit rythmĂ©e par des temps d’animation, ou de stimulation. C’est assurĂ©ment une trĂšs bonne Ă©volution. Mais on n’est pas long Ă  observer qu’elle ne fait pas l’unanimitĂ©, Ă  telle enseigne que certaines vieilles personnes se montre rĂ©ticentes, voire opposantes, Ă  y participer. Cela nous fournit une occasion de nous interroger sur cette nouvelle tendance. L’animation des vieilles personnes Nouvelle ? Pas tant que cela, du reste. Ce n’est pas d’hier que la question est posĂ©e, et que les maisons de retraite cherchent Ă  animer les journĂ©es de leurs rĂ©sidents ; ce n’est pas d’hier que la question de l’ennui est posĂ©e. Ce qui est nouveau c’est la mobilisation plus ou moins gĂ©nĂ©ralisĂ©e de moyens spĂ©cifiques. Essayons d’en observer le fonctionnement. On ne sera pas long Ă  discerner que ce mouvement comporte deux aspects. Le premier aspect est l’animation proprement dite. Et certes il n’est pas question de remettre en cause les efforts qui ont Ă©tĂ© accomplis dans ce domaine [1]. Mais de quoi s’agit-il ? On connaĂźt ces animations jeux de sociĂ©tĂ©, spectacles, danses, sorties, vacances organisĂ©es, sĂ©ances de gymnastique, ateliers
 Toutes ont leur valeur, mais la question qu’il convient de se poser me semble de savoir quels sont les buts poursuivis. Et on peut en Ă©numĂ©rer au moins trois, qui sont toujours prĂ©sents, et le plus souvent de maniĂšre simultanĂ©e. Il y a le dĂ©sir d’occuper le temps. Il y a le dĂ©sir de maintenir un lien social. Il y a le dĂ©sir de profiter de ces actions pour impulser une stimulation psychologique, cognitive, physique. Le second aspect est l’utilisation de ce qu’on appelle les actes Ă©lĂ©mentaires de la vie quotidienne dans le but de stimuler la personne. On trouve lĂ  tout ce que les Ă©quipes mettent en Ɠuvre pour prĂ©server l’autonomie de la personne en l’incitant Ă  faire sa toilette ou, au minimum, Ă  y participer, ou tout ce qui tourne autour des repas. Il serait passionnant de dĂ©tailler tous ces points, mais cet article n’est qu’une Ă©bauche, qui demande Ă  ĂȘtre complĂ©tĂ©e. Pour rapide qu’elle soit cette description permet de poser quelques questions, ou plutĂŽt d’interroger certaines limites. Occuper le temps Les animations ont pour but d’occuper le temps. Mais pourquoi faut-il occuper le temps ? Il y a en maison de retraite des rĂ©sidents qui se plaignent de s’ennuyer ; et il y en a bien plus encore qui ne se plaignent pas mais qui, dĂšs qu’on leur propose une activitĂ© s’aperçoivent que cela fait passer le temps ». La question de l’ennui se pose donc bel et bien. Reste Ă  se demander pourquoi notre Ă©poque redoute Ă  ce point de s’ennuyer. Peut-ĂȘtre n’y a-t-il pas si loin de la volontĂ© d’occuper la personne ĂągĂ©e Ă  cette frĂ©nĂ©sie dans laquelle on plonge les enfants, partie pour les pousser dans leur dĂ©veloppement, partie par crainte de les voir s’ennuyer [2]. On mĂ©connaĂźt que l’ennui est Ă  la fois un sentiment pĂ©nible et une expĂ©rience mĂ©taphysique fondamentale, au cours de laquelle nous faisons l’expĂ©rience de l’écoulement du temps, et de notre place dans cet Ă©coulement ; c’est pourquoi il est si important de laisser les enfants s’ennuyer, au moins un peu. Or, quand nous nous promenons dans le hall de la maison de retraite, nous ne manquons pas d’ĂȘtre inquiets devant ces vieilles personnes qui sont lĂ , assises entre deux plantes vertes auxquelles elles se mettent vaguement Ă  ressembler [3], et qui semblent condamnĂ©es Ă  attendre, ce que nous n’imaginons pouvoir se faire sans ennui. Or quand nous les interrogeons elles nous rĂ©pondent le plus souvent qu’elles ne s’ennuient pas, ce que nous nous empressons de ne pas croire. Il ne nous vient pas Ă  l’esprit que, peut-ĂȘtre, elles disent vrai, et que ce que nous prenons pour un indicible ennui pourrait bien ĂȘtre en rĂ©alitĂ© un temps de contemplation, ou de mĂ©ditation [4]. Bref, et sans contester le moins du monde combien il est important de proposer aux vieilles personnes des activitĂ©s variĂ©es, il se pourrait que dans cette volontĂ© de les occuper il entre quelque chose de suspect. Stimuler le psychisme, l’intellect, le corps Voici qui est assurĂ©ment bienvenu, tant il importe de tout faire pour prĂ©server les capacitĂ©s des sujets vieillissants. Il faut simplement prendre garde Ă  deux points. Le premier concerne sans doute cette doxa particuliĂšre du mens sana in corpore sano. Elle nous est pratiquement une seconde nature ; il serait intĂ©ressant cependant de se rappeler ses origines depuis les penseurs grecs jusqu’à Bismarck il existe un courant de pensĂ©e qui fait au citoyen un devoir d’entretenir son corps [5]. Cette exigence est assurĂ©ment Ă  considĂ©rer, tout comme on peut considĂ©rer qu’il y a un devoir implicite d’éviter de faire, par le biais de l’Assurance Maladie, supporter Ă  la collectivitĂ© les consĂ©quences de ses choix de vie. Reste qu’elle est la consĂ©quence de choix philosophiques qu’on n’est pas forcĂ© de partager, et qu’il faudrait se demander ce que, de ce point de vue, on peut lĂ©gitimement exiger d’une personne qui vit ses derniĂšres annĂ©es, voire ses derniers trimestres. Le second concerne le mĂ©lange qui se fait obligatoirement entre le champ de l’animation et le champ du soin. Ici encore rien de plus naturel tout les lecteurs de Rabelais ont aimĂ© la maniĂšre dont Ponocrates conçoit l’éducation de Gargantua, et comment il saisit chaque occasion de la vie quotidienne de son Ă©lĂšve pour en faire un outil de pĂ©dagogie ou d’entraĂźnement physique. Il n’en reste pas moins que le parallĂšle pose question non seulement, quand on mĂ©lange pĂ©dagogie et animation on ne fait pas la mĂȘme chose que quand on mĂ©lange soin et animation [6], mais encore le soignant n’est pas un animateur, l’animateur n’est pas un soignant, et s’il est heureux qu’il existe une certaine porositĂ© entre ces deux rĂŽles cette porositĂ© a des limites, et elle pourrait bien poser des problĂšmes insoupçonnĂ©s [7]. Maintenir un lien social VoilĂ , ici encore, quelque chose de trĂšs important toutes ces activitĂ©s permettent Ă  la personne ĂągĂ©e de ne pas rester seule, et de continuer d’avoir une vie sociale. Mais la question qui se pose ici est double Si la vieille personne ne souhaite pas de vie sociale, que signifierait le projet de l’y contraindre cela se produit ou mĂȘme simplement de lui faire sentir une dĂ©sapprobation ? Quelles seraient les bases philosophiques d’une obligation dans ce domaine ? Ce projet de maintenir la vieille personne dans le lien social supposerait qu’on veille Ă  ne pas rĂ©duire ce lien Ă  des situations factices comment l’établissement s’organise-t-il pour que les rĂ©sidents soient tenus au courant des affaires du pays et du monde, comment assure-t-il l’accĂšs aux opĂ©rations Ă©lectorales ? Comment permet-il des dĂ©placements Ă  l’église ou Ă  la mosquĂ©e ? Comment met-il en Ɠuvre une dĂ©mocratie interne qui ne se limite pas aux rĂ©unions de la commission des menus ? Utiliser les actes Ă©lĂ©mentaires de la vie quotidienne LĂ  encore le projet est excellent. Et on ne redira jamais assez combien il importe de prĂ©server les possibilitĂ©s de la personne, ou combien la rĂšgle aider Ă  faire et non faire Ă  la place » est essentielle dans le soin. On ne redira jamais assez [8] combien, par exemple la toilette peut ĂȘtre l’occasion d’un temps relationnel trĂšs fort. Mais, justement, parlons de la toilette. Cette question demanderait Ă  elle seule un article complet. Contentons-nous de faire observer qu’il n’y a pas autant de sens qu’on le croit Ă  demander Ă  des Ă©quipes soignantes clairsemĂ©es d’investir l’essentiel de leur temps de travail du matin Ă  laver quotidiennement et des pieds Ă  la tĂȘte des personnes qui n’ont guĂšre l’occasion de se salir. Et ajoutons que, quand on fait observer cela, on s’entend rĂ©torquer que la toilette est aussi un temps relationnel. Peut-ĂȘtre ne s’avise-t-on pas suffisamment que si c’est pour avoir un temps relationnel il serait plus judicieux de venir avec un journal qu’avec un gant et du savon. On trouverait alors d’autres occasions d’aider Ă  faire pourquoi faudrait-il que la contrepartie de cet aider-Ă -faire soit de ne le mettre en Ɠuvre que dans des situations qui ne constituent pas la partie la plus intĂ©ressante de l’existence ? [9] La vieille personne opposante N’allons pas plus loin. Le but de ces remarques Ă©tait simplement de demander si, quand nous dĂ©plorons que la personne ĂągĂ©e refuse de participer aux activitĂ©s, qu’elle refuse les soins ou les stimulations, nous sommes totalement assurĂ©s qu’elle a tort. D’ailleurs il arrive que ce soit le cas. Une chose est Ă©vidente cette vieille personne opposante nous met mal Ă  l’aise, et il n’est pas Ă©tonnant que nous usions de tous nos moyens de persuasion pour l’amener Ă  changer d’attitude ; il arrive mĂȘme que les meilleurs d’entre les soignants arrivent lĂ  en limite de maltraitance. Elle nous met mal Ă  l’aise parce que nous n’arrivons pas Ă  nous dĂ©faire de l’idĂ©e qu’il n’est pas normal de ne rien vouloir faire ; derriĂšre ce refus de faire nous ne voyons pas autre chose que la dĂ©pression, la perte du goĂ»t de vivre ; on en vient vite Ă  soupçonner un trouble psychiatrique et Ă  parler d’aboulie ; ne rien vouloir faire est un signe de dĂ©pression [10] ; cela demanderait Ă  ĂȘtre pris avec plus de prudence, tant la dĂ©pression est l’occasion d’un jugement moral qui pourtant n’a rien Ă  faire lĂ . DerriĂšre la dĂ©pression se profile le spectre de l’acĂ©die, cette torpeur spirituelle, ce dĂ©sintĂ©rĂȘt de tout, cette nĂ©gligence gĂ©nĂ©ralisĂ©e qui est la pire chose qui puisse arriver au moine, et qui est un des plus graves parmi les pĂ©chĂ©s capitaux. Or il faudrait distinguer entre la personne qui ne veut rien faire et celle qui veut ne rien faire. La premiĂšre n’a de goĂ»t Ă  rien ; la seconde a un goĂ»t celui de ne pas en avoir. Tout soignant a dans son souvenir les paroles de telle ou telle vieille dame qui disait J’ai travaillĂ© toute ma vie pour les autres, maintenant je veux qu’on me fasse tout » [11]. La rĂ©ponse Ă  cette exigence n’a rien d’automatique, et ce n’est pas parce que la vieille dame exige d’ĂȘtre totalement prise en charge que l’institution est tenue d’obtempĂ©rer. Reste qu’il faut l’entendre. Et ne pas se contenter de voir, derriĂšre ce dĂ©sir de se laisser aller, le spectre de la mort. Elle nous met mal Ă  l’aise par le mĂȘme mĂ©canisme que celui qui nous fait souffrir quand l’enfant ne veut pas manger comment peut-il refuser ce que je lui donne, comment peut-il rejeter le meilleur de moi-mĂȘme ? [12]. La personne opposante est celle qui refuse mon cadeau, celle qui par lĂ  Ă©branle mon image de moi comme bon soignant ; elle est aussi celle qui refuse la vie en collectivitĂ© telle que je l’ai rĂȘvĂ©e ; elle est enfin celle qui m’interdit de me mirer dans son image comme je le voudrais. C’est sans doute lĂ  qu’il faut placer le fait que, malgrĂ© tous nos efforts, la vie en maison de retraite n’est pas, et ne sera sans doute jamais, la vraie vie », et qu’il y a toujours dans les projets d’animation un faire-comme-si dont nous n’aimons pas que la vieille personne nous rappelle qu’elle n’est pas dupe. Elle nous met mal Ă  l’aise enfin parce que ces exigences, il n’est pas Ă©vident que nous devions y cĂ©der si on part de l’idĂ©e que la vieille personne est avant tout un citoyen [13], alors il est lĂ©gitime de lui demander d’agir en personne responsable, et impliquĂ©e dans l’utilisation judicieuse des ressources. Il y a lĂ  une contradiction qui ne se lĂšve pas simplement. Mais on ne doit pas perdre de vue que quand, dans le projet louable de lui Ă©viter des maltraitances, on construit autour de la personne ĂągĂ©e un monde factice oĂč tout est lisse et cotonneux, on s’approche dangereusement d’une autre forme de maltraitance. Alors que faire ? Devant une personne qui ne veut rien faire, il faut d’abord poser au moins trois types de questions S’agit-il d’une dĂ©pression ? On verra vite que c’est une situation d’une grande frĂ©quence. S’agit-il d’un Ă©tat passager, liĂ© par exemple Ă  une altĂ©ration de l’état gĂ©nĂ©ral demandant un diagnostic ? S’agit-il d’une tentative pour la vieille personne de masquer, en disant qu’elle ne veut pas faire, qu’en rĂ©alitĂ© elle ne peut plus ou ne sait plus faire situation extrĂȘmement frĂ©quente chez le dĂ©ment ? Ces questions une fois traitĂ©es, il reste Ă  réétudier avec elle le projet de vie de la personne. Car rien ne peut ĂȘtre seulement envisagĂ© tant qu’elle n’a pas dit ce qu’elle veut faire. Rien ne peut ĂȘtre envisagĂ© tant qu’elle n’a pas fait usage de sa libertĂ©. Et sa libertĂ© peut ĂȘtre de ne pas vouloir sortir de sa chambre, tout comme elle peut ĂȘtre de ne pas vouloir faire sa toilette, voire de ne pas manger. Le fait que sa libertĂ© doit Ă  tout prix ĂȘtre respectĂ©e ne signifie pas qu’il faille en passer toujours par oĂč elle veut. Nous avons dĂ©jĂ  vu par exemple que la personne est libre de formuler des exigences dĂ©mesurĂ©es, mais que l’institution est libre de ne pas y souscrire. Nous savons aussi que dans la vie courante, la vraie vie, celle dans laquelle nous sommes encore, il est parfaitement lĂ©gitime de forcer quelquefois la dĂ©cision de tel ou tel proche du respect absolu de la libertĂ© de l’autre, on glisserait bien vite Ă  l’indiffĂ©rence. Mais il reste que si nous dĂ©cidons que la libertĂ© du rĂ©sident est notre loi, si nous dĂ©cidons de la prendre au sĂ©rieux, nous allons bien vite nous trouver amenĂ©s Ă  en rabattre de notre interventionnisme. Ne restera plus, et ce ne sera pas une mince affaire, qu’à obtenir des proches qu’ils respectent eux aussi cette libertĂ©. Le rĂ©sident malade D’une maniĂšre peut-ĂȘtre un peu inattendue, la question ne se pose guĂšre diffĂ©remment chez le rĂ©sident malade ; sous cette appellation nous entendons essentiellement le malade dĂ©ment et le malade en fin de vie. Ce n’est pas diffĂ©rent parce que, pour malades qu’ils sont, ces sujets ne sont pas pour autant privĂ©s de leur libertĂ©. On s’économiserait sans doute beaucoup de difficultĂ©s et beaucoup d’agressions si avant d’effectuer un soin Ă  un dĂ©ment on se demandait ce qu’il en pense d’oĂč tenons-nous que le dĂ©ment ne pense plus ?. Et on Ă©viterait bien des dĂ©sastres Ă©thiques si on ne perdait pas de vue que la fin de vie ne vaut d’ĂȘtre vĂ©cue que dans la libertĂ©. Ce n’est pas diffĂ©rent parce que, dans ces cas comme dans tout les autres la question qui doit se poser avant toutes les autres est de savoir au nom de quoi on veut ce qu’on veut. Et on ne peut vouloir Ă  la place de l’autre que pour deux types de raisons L’intervention est strictement et Ă©videmment nĂ©cessaire. Si on prend l’exemple de la toilette, c’est le cas du sujet dont l’incurie commence Ă  gĂ©nĂ©rer un dĂ©sagrĂ©ment pour les autres rĂ©sidents ; dans ce cas en effet le sujet abuse de sa libertĂ© et ce qui s’impose Ă  lui est ce qui s’impose Ă  tout citoyen ; ou encore mais c’est bien plus rare qu’on ne prĂ©tend il y a une raison mĂ©dicale. L’intervention s’intĂšgre dans un projet pĂ©dagogique construit et concertĂ©, ou fait partie d’un projet de soins. Cela suppose une rĂ©flexion prĂ©alable sur ce qu’il est raisonnablement possible d’espĂ©rer. Par exemple le projet de soins d’un malade en fin de vie doit Ă©videmment tenir compte du pronostic Ă  court terme, et des inconforts induits par ce projet de soins. Et il ne sert Ă  rien de vouloir stimuler un dĂ©ment qui a perdu toute capacitĂ© Ă  construire une action. Les deux principaux obstacles Ă  cette prise en charge respectueuse sont probablement d’une part l’illusion que nous avons une obligation de rĂ©aliser tel ou tel soin aucun soin n’est obligatoire, le devoir du soignant n’est pas d’effectuer des gestes mais d’avoir souci et d’autre part la souffrance qui ne manque pas d’étreindre le soignant quand, voyant son offre de soin contestĂ©e, il se sent contestĂ© en lui-mĂȘme. La quasi totalitĂ© des actes de maltraitance sont liĂ©s Ă  la souffrance des soignants. ï»żMais je veux pas rĂ©veiller mes parents, comment je fais ? sur la pointe des pieds , au pire si ils dorment ils se reveilleront pas hein OMG je suis plus kik du -15 tu t'es jamais promenĂ© chez toi la nuit ou quoi ? Bah tu vas aux toilettes. Osef de tes parents. Cest pas ça, mais le truc, c'est qu'ils dorment dans leur chambre, moi chuis dans le salon, et j'ai envie de chier, ça va faie du bruit la chasse d'eau Omg ça fait longtemps que j'ai pas eu peur de rĂ©veiller mes parents Vas y ils diront rien t'as envie de chier, t'as envie de chier on y peut rien. faire* le R qui bug Une couche Ok ok, je reviens alors Au pire il vont pas t'allumer parce que ta envie de chier xD En fait, ils vont m'allumer parce-que je me couche trop tard Le topo Caca tout clean, nickel Si c'est le cas tu dis que dans la nuit t'as eu envie d'aller au toilette, ça m'est dĂ©jĂ  arriver hein. bon moi sa ma donner envie Moi aussi Ah cool Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

madame j ai envie d aller au toilette